Si la journée de lundi a été calme devant les grilles de la SRPP, il en est tout autrement ce mardi. Les événements se sont finalement emballés "à cause" (serait-on tenté de dire) de la présence du sous-préfet de Saint-Paul qui était pourtant là pour appeler les camionneurs à déplacer leurs poids-lourds, dans le calme.
Maheureusement pour le représentant de l'Etat, son discours n'a fait que raviver la flamme chez les transporteurs. Arrivé sur site en trombe, Jean-Bernard Caroupaye a quant à lui décidé d'opérer dans le registre de la théâtralité. "Tirez sur moi ! Donnez l'ordre de tirer sur moi !", s'est-il emporté en flinguant du regard le sous-préfet.
La journée ne faisait que commencer. De longues heures de coups de bluff et de menaces réciproques ont jalonné une matinée sous tension au Port.
Jean-Yves Langenier, maire du Port, a quant à lui tranché par son flegme habituel avec un Thierry Robert énergique mais qui a eu le malheur de libérer des paroles malheureuses de quelques manifestants.
Dommage.
Des "Réunion lé a nou", ont été adressés aux gendarmes mobiles. Du prix du carburant à la vie chère, le mouvement dérape lentement vers un procès fait à ce que le maire de Saint-Leu a appellé ce matin "la fin du colonialisme" façon SRPP.
Maheureusement pour le représentant de l'Etat, son discours n'a fait que raviver la flamme chez les transporteurs. Arrivé sur site en trombe, Jean-Bernard Caroupaye a quant à lui décidé d'opérer dans le registre de la théâtralité. "Tirez sur moi ! Donnez l'ordre de tirer sur moi !", s'est-il emporté en flinguant du regard le sous-préfet.
La journée ne faisait que commencer. De longues heures de coups de bluff et de menaces réciproques ont jalonné une matinée sous tension au Port.
Jean-Yves Langenier, maire du Port, a quant à lui tranché par son flegme habituel avec un Thierry Robert énergique mais qui a eu le malheur de libérer des paroles malheureuses de quelques manifestants.
Dommage.
Des "Réunion lé a nou", ont été adressés aux gendarmes mobiles. Du prix du carburant à la vie chère, le mouvement dérape lentement vers un procès fait à ce que le maire de Saint-Leu a appellé ce matin "la fin du colonialisme" façon SRPP.



