
La CGTR souhaite la bienvenue à un service de restauration supplémentaire au sein du GHER. Il est toujours bon d’avoir du choix et de la concurrence afin de permettre aux usagers et aux salariés de disposer de la plus grande offre possible.
Cependant, comme il nous a été remonté par le personnel, nous déplorons l’absence de moyens de se restaurer après 18h30, horaire de fermeture du nouveau prestataire. En effet, il est impossible pour un usager de pouvoir s’octroyer un café ou un en-cas dans ce contexte, les distributeurs du hall d’accueil ayant été retirés depuis l’arrivée de ce prestataire...
Comment feront les personnes qui auparavant trouvaient dans l’usage de ces distributeurs un réconfort la nuit ?
Nous nous interrogeons aussi sur les dispositions qui ont été prises pour arriver à ce constat de quasi-monopole, avec un service rendu qui n’est pas toujours à la portée de toutes les bourses. Il est intolérable de voir la qualité d’accueil des usagers et la qualité de vie au travail du personnel continuer à se dégrader dans ces conditions au GHER.
Par ailleurs, le personnel du GHER s’interroge sur l’interdiction, à priori, des livraisons de repas aux portes des services par des restaurateurs externes.
Aussi, la CGTR demande à l’administration d’éclaircir ce point, car la colère et l’incompréhension ne cessent de grandir chez le personnel. Il y a peu de temps de cela, les agents pouvaient se faire livrer leurs « barquettes » sans quitter leur poste et leur service. Il semblerait qu’ils soient maintenant forcés de les récupérer au niveau du parking.
Qu’en est-il des patients ? Sont-ils aussi soumis à ces contraintes ? Une note à l’entrée de la cafétéria précise que l’accès n’est autorisé qu’au personnel du GHER.
Les membres du conseil de surveillance, dont font partie les représentants des usagers, sont-ils au courant de ces pratiques ? Le GHER serait-il devenu chasse gardée d’un seul et unique acteur ?
Quelle est cette politique mettant potentiellement en difficulté les entreprises de restauration bénédictines et restreignant le choix des usagers et du personnel ?
Ne sommes-nous pas PRIS EN OTAGE dans de telles circonstances ?
La CGTR dénonce ces pratiques car de nos jours l’accent devrait être mis sur le libre choix de se restaurer dans un lieu public.
Pour le Bureau de la CGTR
Cependant, comme il nous a été remonté par le personnel, nous déplorons l’absence de moyens de se restaurer après 18h30, horaire de fermeture du nouveau prestataire. En effet, il est impossible pour un usager de pouvoir s’octroyer un café ou un en-cas dans ce contexte, les distributeurs du hall d’accueil ayant été retirés depuis l’arrivée de ce prestataire...
Comment feront les personnes qui auparavant trouvaient dans l’usage de ces distributeurs un réconfort la nuit ?
Nous nous interrogeons aussi sur les dispositions qui ont été prises pour arriver à ce constat de quasi-monopole, avec un service rendu qui n’est pas toujours à la portée de toutes les bourses. Il est intolérable de voir la qualité d’accueil des usagers et la qualité de vie au travail du personnel continuer à se dégrader dans ces conditions au GHER.
Par ailleurs, le personnel du GHER s’interroge sur l’interdiction, à priori, des livraisons de repas aux portes des services par des restaurateurs externes.
Aussi, la CGTR demande à l’administration d’éclaircir ce point, car la colère et l’incompréhension ne cessent de grandir chez le personnel. Il y a peu de temps de cela, les agents pouvaient se faire livrer leurs « barquettes » sans quitter leur poste et leur service. Il semblerait qu’ils soient maintenant forcés de les récupérer au niveau du parking.
Qu’en est-il des patients ? Sont-ils aussi soumis à ces contraintes ? Une note à l’entrée de la cafétéria précise que l’accès n’est autorisé qu’au personnel du GHER.
Les membres du conseil de surveillance, dont font partie les représentants des usagers, sont-ils au courant de ces pratiques ? Le GHER serait-il devenu chasse gardée d’un seul et unique acteur ?
Quelle est cette politique mettant potentiellement en difficulté les entreprises de restauration bénédictines et restreignant le choix des usagers et du personnel ?
Ne sommes-nous pas PRIS EN OTAGE dans de telles circonstances ?
La CGTR dénonce ces pratiques car de nos jours l’accent devrait être mis sur le libre choix de se restaurer dans un lieu public.
Pour le Bureau de la CGTR