Alors que la situation restaurants de plage de l’Hermitage empiétant sur la plage fait l'actualité, des riverains se sont réunis ce samedi autour de Karl Bellon - ancien adjoint d'Alain Bénard - afin de mettre en place un collectif.
Une action notamment liée à la "reprise des travaux sur le Cocobeach et la Bobine", mais aussi aux "nuisances sonores" ou encore aux "risques de débordements et d’accidents à la sortie des soirées".
Reprochant "le manque de réactions des pouvoirs publics" et "une AOT (Autorisation d’Occupation Temporaire) sur la zone du DPM (Domaine Public Maritime) causant un préjudice irréversible au lagon", le collectif en cours de création revendique que "Saint-Gilles-les Bains et l’Hermitage retrouvent les conditions de vie nécessaire à l’épanouissement des riverains et des Réunionnais de plus en plus nombreux à profiter de cette plage". Et invite les associations et usagers de la plage à se joindre à leur combat.
Des actions en justice annoncées
Dès ce lundi, les riverains annoncent que des courriers de demande de rendez-vous ou d’explication sur la situation seront envoyés. Ensuite, "une fois le collectif officiellement déclaré", le mouvement passera à l'étape supérieur, avec "des actions en justice afin de rétablir la loi du littoral sur nos plages, le respect du domaine maritime".
"Dans un second temps, nous souhaitons nous mobiliser au sein d’un deuxième collectif à échelle de La Réunion pour protéger notre patrimoine littoral, notre lagon, nos plages, les espaces sensibles dans l’esprit que nous n’héritons pas de la terre de nos parents mais nous l’empruntons à nos enfants (proverbe indien)", tient à faire savoir Karl Bellon.
"Aujourd’hui, tous les acteurs liés à ce dossier : restaurateurs, mairie, services de l’Etat et riverains doivent savoir que nous serons présents dans le débat pour la sauvegarde de notre patrimoine", conclut l'ancien adjoint au maire de Saint-Paul.
Une action notamment liée à la "reprise des travaux sur le Cocobeach et la Bobine", mais aussi aux "nuisances sonores" ou encore aux "risques de débordements et d’accidents à la sortie des soirées".
Reprochant "le manque de réactions des pouvoirs publics" et "une AOT (Autorisation d’Occupation Temporaire) sur la zone du DPM (Domaine Public Maritime) causant un préjudice irréversible au lagon", le collectif en cours de création revendique que "Saint-Gilles-les Bains et l’Hermitage retrouvent les conditions de vie nécessaire à l’épanouissement des riverains et des Réunionnais de plus en plus nombreux à profiter de cette plage". Et invite les associations et usagers de la plage à se joindre à leur combat.
Des actions en justice annoncées
Dès ce lundi, les riverains annoncent que des courriers de demande de rendez-vous ou d’explication sur la situation seront envoyés. Ensuite, "une fois le collectif officiellement déclaré", le mouvement passera à l'étape supérieur, avec "des actions en justice afin de rétablir la loi du littoral sur nos plages, le respect du domaine maritime".
"Dans un second temps, nous souhaitons nous mobiliser au sein d’un deuxième collectif à échelle de La Réunion pour protéger notre patrimoine littoral, notre lagon, nos plages, les espaces sensibles dans l’esprit que nous n’héritons pas de la terre de nos parents mais nous l’empruntons à nos enfants (proverbe indien)", tient à faire savoir Karl Bellon.
"Aujourd’hui, tous les acteurs liés à ce dossier : restaurateurs, mairie, services de l’Etat et riverains doivent savoir que nous serons présents dans le débat pour la sauvegarde de notre patrimoine", conclut l'ancien adjoint au maire de Saint-Paul.