La réquisition des pompes à essence oui, mais à un certain point. Le syndicat des gérants de stations-service, Gérard Lebon, se montre catégorique sur la coopération qui sera celle des gérants avec les véhicules stratégiques ou médicaux.
"On comprend tout à fait qu'il faille faire des réquisitions, c'est normal. Maintenant, les réquisitions ne peuvent pas se faire n'importe comment. On n'est pas au service du préfet ou des différents corps de métiers qui en ont besoin", explique Gérard Lebon, le président des gérants de stations-service.
Après avoir montré son intransigeance, le syndicat "préconise" qu'il n'y ait qu'une seule plage horaire pendant laquelle ses membres devront être mobilisés.
"Ce sera soit de 8h à midi, soit de 14h à 18h", assure Gérard Lebon. "Nous n'allons pas faire venir notre personnel, le faire repartir et le faire revenir", pose-t-il comme condition.
Devant la SRPP au Port, les gérants sont en train d'organiser les relèves pour que le sit-in soit toujours vigoureux. Depuis ce jeudi matin, une trentaine de gérants se relayent au fil des heures. Ils sont 139 gérants de stations dans notre département.
"On comprend tout à fait qu'il faille faire des réquisitions, c'est normal. Maintenant, les réquisitions ne peuvent pas se faire n'importe comment. On n'est pas au service du préfet ou des différents corps de métiers qui en ont besoin", explique Gérard Lebon, le président des gérants de stations-service.
Après avoir montré son intransigeance, le syndicat "préconise" qu'il n'y ait qu'une seule plage horaire pendant laquelle ses membres devront être mobilisés.
"Ce sera soit de 8h à midi, soit de 14h à 18h", assure Gérard Lebon. "Nous n'allons pas faire venir notre personnel, le faire repartir et le faire revenir", pose-t-il comme condition.
Devant la SRPP au Port, les gérants sont en train d'organiser les relèves pour que le sit-in soit toujours vigoureux. Depuis ce jeudi matin, une trentaine de gérants se relayent au fil des heures. Ils sont 139 gérants de stations dans notre département.