A la réouverture des locaux au public ce matin, la Sécurité Sociale a subi une affluence non négligeable d'assurés sociaux. Files allongées et salle d'attente remplie... "mais pas plus que d'habitude", lâche une personne qui patiente.
La presse a défilé dans le bureau du directeur de la CGSS, Jean-Paul Phelippeau. Et pour cause : précédemment annoncée pour mercredi, la réouverture des services au public s'est effectuée ce matin dès 7h30 et jusqu'à 12h, l'après-midi étant consacré au rattrapage des dossiers en retard, dont le nombre exact est encore inconnu.
Notre interlocuteur affirme que "divers dossiers sont à prendre en charge de façon urgente" tels que les arrêts maladie, les bénéficiaires de la CMU arrivant en fin de droits... Le directeur de la Sécu indique à ce propos que "les droits arrivés à échéance au cours de la période d'inactivité, sont repoussés de deux mois."
Dans les couloirs, pas d'agitation anormale, les agents s'affairent à traiter les dossiers. "Il n'y a pas eu d'incident, tout à été relativement bien géré", a par ailleurs précisé la responsable de la communication, Suzanne Bounea.
La presse a défilé dans le bureau du directeur de la CGSS, Jean-Paul Phelippeau. Et pour cause : précédemment annoncée pour mercredi, la réouverture des services au public s'est effectuée ce matin dès 7h30 et jusqu'à 12h, l'après-midi étant consacré au rattrapage des dossiers en retard, dont le nombre exact est encore inconnu.
Notre interlocuteur affirme que "divers dossiers sont à prendre en charge de façon urgente" tels que les arrêts maladie, les bénéficiaires de la CMU arrivant en fin de droits... Le directeur de la Sécu indique à ce propos que "les droits arrivés à échéance au cours de la période d'inactivité, sont repoussés de deux mois."
Dans les couloirs, pas d'agitation anormale, les agents s'affairent à traiter les dossiers. "Il n'y a pas eu d'incident, tout à été relativement bien géré", a par ailleurs précisé la responsable de la communication, Suzanne Bounea.