Depuis la rentrée 2018, plus de 4700 postes ont été supprimés dans le second degré au niveau national alors que le nombre d’élèves ne fait qu’augmenter (+99 300).
Le syndicat SNES-FSU Réunion pointe du doigt ce manque de politique ambitieuse, notamment pour les élèves réunionnais. En effet, à la Réunion le constat est alarmant. Quels que soient les effectifs, la restriction est toujours plus importante.
A la dernière rentrée, alors que les effectifs des élèves ont augmenté, 56 postes ont été supprimés. Même refrain pour la rentrée prochaine... Le nombre d’élèves va baisser de 0,50%, ce qui va entraîner la suppression de 55 postes d'enseignants.
Selon le SNES-FSU Réunion, "le ministère a donc décidé de n’améliorer ni nos conditions de travail ni les conditions d’études de nos élèves. Ce choix est purement idéologique et budgétaire. Il met en lumière les mensonges de notre ministre qui n’a de cesse de répéter que l’Education est une priorité…mais sans moyens."
Le syndicat souligne que La Réunion connaît depuis plusieurs années une crise de recrutement due aux conditions de travail et au déclassement social des professeurs. Or "dégrader davantage les conditions de travail ne permettra sûrement pas de stopper cette crise", confie-t-il.
Ce ras-le-bol vient s'ajouter au mouvement social contre la réforme des retraites. C'est pourquoi, le SNES-FSU appelle l'ensemble des enseignants à participer aux journées d’action nationale durant tout le mois de janvier et à se tenir prêts, si besoin, dès la reprise, le 27 janvier.
Le syndicat SNES-FSU Réunion pointe du doigt ce manque de politique ambitieuse, notamment pour les élèves réunionnais. En effet, à la Réunion le constat est alarmant. Quels que soient les effectifs, la restriction est toujours plus importante.
A la dernière rentrée, alors que les effectifs des élèves ont augmenté, 56 postes ont été supprimés. Même refrain pour la rentrée prochaine... Le nombre d’élèves va baisser de 0,50%, ce qui va entraîner la suppression de 55 postes d'enseignants.
Selon le SNES-FSU Réunion, "le ministère a donc décidé de n’améliorer ni nos conditions de travail ni les conditions d’études de nos élèves. Ce choix est purement idéologique et budgétaire. Il met en lumière les mensonges de notre ministre qui n’a de cesse de répéter que l’Education est une priorité…mais sans moyens."
Le syndicat souligne que La Réunion connaît depuis plusieurs années une crise de recrutement due aux conditions de travail et au déclassement social des professeurs. Or "dégrader davantage les conditions de travail ne permettra sûrement pas de stopper cette crise", confie-t-il.
Ce ras-le-bol vient s'ajouter au mouvement social contre la réforme des retraites. C'est pourquoi, le SNES-FSU appelle l'ensemble des enseignants à participer aux journées d’action nationale durant tout le mois de janvier et à se tenir prêts, si besoin, dès la reprise, le 27 janvier.