
L’ESA Réunion a le plaisir de vous informer de la rencontre avec Pieter Hugo, le jeudi 3 décembre à 11h en salle de conférence. L'entrée est libre.
Pieter Hugo est un artiste sud-africain.
Il vit au Cap, son travail est exposé dans les musées du monde entier. II a reçu de nombreux prix, il a réalisé de nombreux livres, et, fait rare, il a connu une rétrospective de son travail à l'âge de 36 ans seulement, au Musée de L’Elysée à Lausanne en 2012.
Toutes ses séries photographiques questionnent l’identité en Afrique du Sud, l’humanité de chacun et la notion de représentation de l’être humain, sa couleur, sa richesse, sa pauvreté, son histoire.
Pieter Hugo s'intéresse aux sujets qu'on n'aime pas regarder…
Il est parti sur les traces du génocide rwandais dix ans après, il a photographié des victimes mortes du sida en Afrique du Sud (Série Deuil), a photographié des Albinos, et avec "Error permanente " a suivi deux années durant la vie d’une immense déchetterie à ciel ouvert située à côté d’un bidonville proche de la capitale du Ghana.
Il a aussi accompagné des dresseurs d’hyènes ambulants au Nigéria et s’est intéressé aux hommes de loi du Ghana et du Botswana, dans leurs robes, noires ou rouges, affublés de perruques dans le meilleur style britannique… Manière de réfléchir aux survivances de la tradition coloniale.
Le photographe passé brièvement par l’expérience de photo-reporter a vite quitté cet univers qui ne lui correspondait pas, raconte-t-il, "parce qu’il a besoin de temps pour appréhender les sujets qu’il aborde ".
Pieter Hugo est un artiste sud-africain.
Il vit au Cap, son travail est exposé dans les musées du monde entier. II a reçu de nombreux prix, il a réalisé de nombreux livres, et, fait rare, il a connu une rétrospective de son travail à l'âge de 36 ans seulement, au Musée de L’Elysée à Lausanne en 2012.
Toutes ses séries photographiques questionnent l’identité en Afrique du Sud, l’humanité de chacun et la notion de représentation de l’être humain, sa couleur, sa richesse, sa pauvreté, son histoire.
Pieter Hugo s'intéresse aux sujets qu'on n'aime pas regarder…
Il est parti sur les traces du génocide rwandais dix ans après, il a photographié des victimes mortes du sida en Afrique du Sud (Série Deuil), a photographié des Albinos, et avec "Error permanente " a suivi deux années durant la vie d’une immense déchetterie à ciel ouvert située à côté d’un bidonville proche de la capitale du Ghana.
Il a aussi accompagné des dresseurs d’hyènes ambulants au Nigéria et s’est intéressé aux hommes de loi du Ghana et du Botswana, dans leurs robes, noires ou rouges, affublés de perruques dans le meilleur style britannique… Manière de réfléchir aux survivances de la tradition coloniale.
Le photographe passé brièvement par l’expérience de photo-reporter a vite quitté cet univers qui ne lui correspondait pas, raconte-t-il, "parce qu’il a besoin de temps pour appréhender les sujets qu’il aborde ".