Sarah Bouaoune a accepté d’être la suppléante de Mathieu Hoarau. Ils ont respectivement 26 et 34 ans, ils
veulent démontrer par leur binôme, « qu’il est plus que nécessaire d’agir que de subir », lance d’emblée la jeune
femme. Installée à son compte, elle propose de l’accompagnement scolaire, la suppléante est lucide face à la vie politique de La Réunion : « ce n’est pas le parti qui fait l’homme, c’est l’homme qui fait le parti ».
Et c’est ainsi qu’elle décide d’être sur la marche de suppléante et sans étiquette mais avec un placement au
centre de l’échiquier politique. Tel un modèle macroniste : ni droite, ni gauche, l’audacieuse Sarah Bouaoune prévient : « nous sommes là pour servir l’intérêt général et non nous servir, nous voulons agir et non promettre ».
Fortement impliquée dans le tissu associatif, sa rencontre avec Mathieu Hoarau a fait tilt : « nous avions les mêmes convictions : créer le travail à La Réunion à travers l’enseignement et le tourisme, il est urgent que les jeunes réunionnais prennent goût à s’investir dans notre île », affirme-t-elle.
Et pourquoi ne s’est-elle portée candidate ? « Je ne suis pas prête mais je me prépare. L’élection législative est
une première expérience. Il faut appréhender toutes les variantes d’une campagne. J’envisage de me présenter
lors des prochaines échéances. Pour l’instant Mathieu Hoarau et moi-même nous nous faisons connaître, nous
écoutons les doléances des citoyens, nous estimons que nous avons beaucoup à apprendre en matière politique
et sans toutefois être cooptés par qui que ce soit ». La campagne en cours, Sarah Bouaoune est contente de
l’accueil de la population : « les électeurs apprécient les nouveaux visages sans étiquette ».
Gageons que les citoyens « donneront une chance à la nouvelle génération » que représente le binôme accro aux réseaux sociaux.
veulent démontrer par leur binôme, « qu’il est plus que nécessaire d’agir que de subir », lance d’emblée la jeune
femme. Installée à son compte, elle propose de l’accompagnement scolaire, la suppléante est lucide face à la vie politique de La Réunion : « ce n’est pas le parti qui fait l’homme, c’est l’homme qui fait le parti ».
Et c’est ainsi qu’elle décide d’être sur la marche de suppléante et sans étiquette mais avec un placement au
centre de l’échiquier politique. Tel un modèle macroniste : ni droite, ni gauche, l’audacieuse Sarah Bouaoune prévient : « nous sommes là pour servir l’intérêt général et non nous servir, nous voulons agir et non promettre ».
Fortement impliquée dans le tissu associatif, sa rencontre avec Mathieu Hoarau a fait tilt : « nous avions les mêmes convictions : créer le travail à La Réunion à travers l’enseignement et le tourisme, il est urgent que les jeunes réunionnais prennent goût à s’investir dans notre île », affirme-t-elle.
Et pourquoi ne s’est-elle portée candidate ? « Je ne suis pas prête mais je me prépare. L’élection législative est
une première expérience. Il faut appréhender toutes les variantes d’une campagne. J’envisage de me présenter
lors des prochaines échéances. Pour l’instant Mathieu Hoarau et moi-même nous nous faisons connaître, nous
écoutons les doléances des citoyens, nous estimons que nous avons beaucoup à apprendre en matière politique
et sans toutefois être cooptés par qui que ce soit ». La campagne en cours, Sarah Bouaoune est contente de
l’accueil de la population : « les électeurs apprécient les nouveaux visages sans étiquette ».
Gageons que les citoyens « donneront une chance à la nouvelle génération » que représente le binôme accro aux réseaux sociaux.