
C’est une première victoire pour le CREFOM Réunion et le collectif Lantant pou lanploi lokal. Jugeant "irrégulière" la nomination de Virginie Chaillou-Atrous au poste de maître de conférences en histoire de l’esclavage à l’Université de La Réunion, le tribunal administratif a décidé de suspendre son embauche.
Si le CREFOM Réunion est bien sûr satisfait de cette suspension, tout reste encore à faire nous indique son délégué régional, Richel Sacri. "Nous allons continuer à plaider pour l’annulation de la décision prise par le conseil d’administration", déclare-t-il, ajoutant que ce n’est pas la personne de Virginie Chaillou-Atrous que le CREFOM et d’autres associations ont visé mais bien les irrégularités dénoncées par les historiens de la fac du Moufia.
Le CREFOM Réunion et les historiens de l’Université de La Réunion avaient saisi le tribunal administratif en juin dernier pour demander l’invalidité de la nomination en cours de la candidate nantaise. Une nomination entachée de nombreuses irrégularités, affirment-ils, entre "l’abus de pouvoir" du président Rochdi ou encore "le non-respect du quorum" lors des réunions du comité de sélection.
Le collectif de défense domien n’était pas le seul à s’être élevé contre la nomination de Virginie Chaillou-Atrous puisque fin juin, une quinzaine d’associations ont formé un collectif, le "LAPLL" (Lantant pou lanploi lokal, a diplôme égal, préférans rénionèz) pour dénoncer l’embauche de cette dernière et la "gestion tyrannique et arbitraire des recrutements de l’Université".
Si le CREFOM Réunion est bien sûr satisfait de cette suspension, tout reste encore à faire nous indique son délégué régional, Richel Sacri. "Nous allons continuer à plaider pour l’annulation de la décision prise par le conseil d’administration", déclare-t-il, ajoutant que ce n’est pas la personne de Virginie Chaillou-Atrous que le CREFOM et d’autres associations ont visé mais bien les irrégularités dénoncées par les historiens de la fac du Moufia.
Le CREFOM Réunion et les historiens de l’Université de La Réunion avaient saisi le tribunal administratif en juin dernier pour demander l’invalidité de la nomination en cours de la candidate nantaise. Une nomination entachée de nombreuses irrégularités, affirment-ils, entre "l’abus de pouvoir" du président Rochdi ou encore "le non-respect du quorum" lors des réunions du comité de sélection.
Le collectif de défense domien n’était pas le seul à s’être élevé contre la nomination de Virginie Chaillou-Atrous puisque fin juin, une quinzaine d’associations ont formé un collectif, le "LAPLL" (Lantant pou lanploi lokal, a diplôme égal, préférans rénionèz) pour dénoncer l’embauche de cette dernière et la "gestion tyrannique et arbitraire des recrutements de l’Université".