Le 5 septembre, le député-maire de Saint-Leu réaffirmait son opposition au projet de carrière à Bois Blanc. Ce lundi 3 octobre, Thierry Robert s'adresse au préfet Dominique Sorain, concernant l'enquête publique de Bois Blanc et les soupçons de partialité évoqués par la presse locale.
"Des informations d'une extrême gravité sont rendues publiques par voie de presse qui sont de nature à remettre en cause la procédure en cause", écrit-il.
En cause, l'édito du JIR du samedi 1er octobre signé par Jacques Tillier dans lequel il avance que les commissaires enquêteurs désignés pour cette enquête entretiendraient des "relations personnelles avec la SCPR", rapporte Thierry Robert. Le député-maire s'appuie également sur des appels sur les ondes de diverses radios "comme autant d'élément accablants de l'absence de neutralité de ces commissaires enquêteurs".
Thierry Robert demande ainsi au préfet de faire "toute la lumière sur les liens qui existent entre les personnes choisies pour mener cette enquête et le demandeur".
Ci dessous le courrier dans son intégralité :
"Des informations d'une extrême gravité sont rendues publiques par voie de presse qui sont de nature à remettre en cause la procédure en cause", écrit-il.
En cause, l'édito du JIR du samedi 1er octobre signé par Jacques Tillier dans lequel il avance que les commissaires enquêteurs désignés pour cette enquête entretiendraient des "relations personnelles avec la SCPR", rapporte Thierry Robert. Le député-maire s'appuie également sur des appels sur les ondes de diverses radios "comme autant d'élément accablants de l'absence de neutralité de ces commissaires enquêteurs".
Thierry Robert demande ainsi au préfet de faire "toute la lumière sur les liens qui existent entre les personnes choisies pour mener cette enquête et le demandeur".
Ci dessous le courrier dans son intégralité :
PREFECTURE Enquête publique de Bois Blanc by Zinfos974 on Scribd