La compagnie aérienne Corsair a annoncé ce jeudi 4 juin être en mesure de réenclencher ses rotations vers les départements d'Outre-mer et l'international, sous réserve de la levée des restrictions aux frontières. Restrictions adoptées par de nombreux pays depuis l'épidémie du Coronavirus.
Cette épisode sanitaire a évidemment créé un contentieux en cascade pour tous ceux qui n'ont pas pu voyager sur les mois de mars, avril, mai, juin ou qui, au vu de la situation, demandent l'annulation de leur vol prévu ces prochains mois. A ce sujet, la direction de Corsair affirme aujourd'hui qu'elle se conformera à la dernière décision de la Commission européenne en date du 13 mai.
"Le sujet du remboursement des vols concernés par la crise sanitaire a fait l’objet de nombreuses démarches auprès de la Commission européenne dans les dernières semaines. Cependant, compte tenu des volumes à traiter et de la complexité des opérations, Corsair sera en mesure de préciser les modalités dans les prochains jours", promet-t-elle à destination de ses milliers de passagers en attente d'une réponse-clientèle. Toutes les compagnies du monde doivent faire face à ce type de réclamations, avec un volume forcément inédit au vu de la situation de pandémie et de la durée de la crise.
La Commission européenne a en effet rappelé, le 13 mai, le droit des passagers à bénéficier d'un remboursement lorsque leur vol est annulé. Elle a par ailleurs adressé un rappel à l'ordre aux pays récalcitrants, dont la France, avant un lancement éventuel de procédures en infraction.
La Commission européenne recommandait ainsi, entre autres, que les avoirs distribués aient une validité minimale de 12 mois, que le remboursement des sommes non utilisées soit automatique dans les 14 jours suivant leur expiration (ou que le remboursement soit possible au bout de 12 mois pour les avoirs ayant une validité plus longue), qu'ils soient transférables gratuitement à un tiers, mais aussi qu'ils soient bonifiés par rapport à la valeur du billet payé par le passager et qu'ils puissent être utilisés auprès des différentes compagnies d'une même alliance.
Cette épisode sanitaire a évidemment créé un contentieux en cascade pour tous ceux qui n'ont pas pu voyager sur les mois de mars, avril, mai, juin ou qui, au vu de la situation, demandent l'annulation de leur vol prévu ces prochains mois. A ce sujet, la direction de Corsair affirme aujourd'hui qu'elle se conformera à la dernière décision de la Commission européenne en date du 13 mai.
"Le sujet du remboursement des vols concernés par la crise sanitaire a fait l’objet de nombreuses démarches auprès de la Commission européenne dans les dernières semaines. Cependant, compte tenu des volumes à traiter et de la complexité des opérations, Corsair sera en mesure de préciser les modalités dans les prochains jours", promet-t-elle à destination de ses milliers de passagers en attente d'une réponse-clientèle. Toutes les compagnies du monde doivent faire face à ce type de réclamations, avec un volume forcément inédit au vu de la situation de pandémie et de la durée de la crise.
La Commission européenne a en effet rappelé, le 13 mai, le droit des passagers à bénéficier d'un remboursement lorsque leur vol est annulé. Elle a par ailleurs adressé un rappel à l'ordre aux pays récalcitrants, dont la France, avant un lancement éventuel de procédures en infraction.
La Commission européenne recommandait ainsi, entre autres, que les avoirs distribués aient une validité minimale de 12 mois, que le remboursement des sommes non utilisées soit automatique dans les 14 jours suivant leur expiration (ou que le remboursement soit possible au bout de 12 mois pour les avoirs ayant une validité plus longue), qu'ils soient transférables gratuitement à un tiers, mais aussi qu'ils soient bonifiés par rapport à la valeur du billet payé par le passager et qu'ils puissent être utilisés auprès des différentes compagnies d'une même alliance.