L'idylle entre le professeur d'anglais Philippe Ghanty et l'une de ses élèves a fait l'objet d'un reportage pour l'émission Complément d'enquête, diffusée ce jeudi sur France 2, sur le thème "Sextos, porno : la vie secrète de nos ados".
"Personne n’a compris qu’au final c’était pas une histoire lubrique, c’était une histoire d’amour" déclare Philippe Ganty. "Je ne m’y attendais pas du tout. Jamais je n’aurais pu imaginé ça, avec mes valeurs qui sont très à droite", poursuit l'homme politique étiqueté Front national. "Je n’ai aucun regret parce que c’est au final la plus belle histoire d’amour que j’aie jamais vécu".
Le procès en avril prochain
Le professeur, désormais suspendu, explique qu'il n’arrivait "plus à mettre les limites car les sentiments commençaient à prendre forme". "Bien sûr qu’on a l’impression de déraper. C’est pas du tout quelque chose de normal de tomber amoureux d’une fille de 15 ans. J’ai une fille, je comprends que son père la protège, mais il n’a pas conscience à quel point j’aime sa fille".
Si la jeune femme, qui écrivait des lettres et textos d'amour à son professeur, a confirmé son consentement devant les policiers, ses parents estiment qu'elle a été manipulée et ont porté plainte. Philippe Ganty comparaîtra devant la justice le 3 avril prochain.
Complément d’enquête sur France 2 (à partir de 42'55) : www.francetvinfo.fr/replay-magazine
"Personne n’a compris qu’au final c’était pas une histoire lubrique, c’était une histoire d’amour" déclare Philippe Ganty. "Je ne m’y attendais pas du tout. Jamais je n’aurais pu imaginé ça, avec mes valeurs qui sont très à droite", poursuit l'homme politique étiqueté Front national. "Je n’ai aucun regret parce que c’est au final la plus belle histoire d’amour que j’aie jamais vécu".
Le procès en avril prochain
Le professeur, désormais suspendu, explique qu'il n’arrivait "plus à mettre les limites car les sentiments commençaient à prendre forme". "Bien sûr qu’on a l’impression de déraper. C’est pas du tout quelque chose de normal de tomber amoureux d’une fille de 15 ans. J’ai une fille, je comprends que son père la protège, mais il n’a pas conscience à quel point j’aime sa fille".
Si la jeune femme, qui écrivait des lettres et textos d'amour à son professeur, a confirmé son consentement devant les policiers, ses parents estiment qu'elle a été manipulée et ont porté plainte. Philippe Ganty comparaîtra devant la justice le 3 avril prochain.
Complément d’enquête sur France 2 (à partir de 42'55) : www.francetvinfo.fr/replay-magazine