Les élus de l'opposition de la région Nouvelle-Aquitaine ont déposé vendredi au tribunal administratif de Bordeaux une demande d'autorisation d'action en justice contre "les irrégularités" de gestion de l'ex-Région Poitou-Charentes.
Cette action fait suite au refus de l'actuel président socialiste de la Région, Alain Rousset, d'inscrire à l'ordre du jour de la séance plénière du conseil régional du 10 avril l'examen d'un mémoire dans lequel ils dénonçaient la gestion de ses prédécesseurs, Ségolène Royal et Jean-François Macaire.
Ce mémoire s'appuie sur un récent rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC) qui dénonce la mauvaise gestion financière de l'ex-Région présidée pendant dix ans par Ségolène Royal (2004-2014), aujourd'hui ministre de l'Environnement et de l'Energie.
Dans ce rapport, la CRC relève des impayés de 111 millions d'euros, que la région Nouvelle-Aquitaine (Aquitaine, Limousin, Poitou-Charentes) a réglés, et une dette léguée par l'ex-Poitou-Charentes, dont 46 millions d'emprunts toxiques que la nouvelle région doit rembourser.
Devant le refus d'Alain Rousset, les élus ont donc saisi le tribunal administratif pour leur permettre d'agir en justice à la place du Conseil régional, comme le prévoit la loi.
Cette action fait suite au refus de l'actuel président socialiste de la Région, Alain Rousset, d'inscrire à l'ordre du jour de la séance plénière du conseil régional du 10 avril l'examen d'un mémoire dans lequel ils dénonçaient la gestion de ses prédécesseurs, Ségolène Royal et Jean-François Macaire.
Ce mémoire s'appuie sur un récent rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC) qui dénonce la mauvaise gestion financière de l'ex-Région présidée pendant dix ans par Ségolène Royal (2004-2014), aujourd'hui ministre de l'Environnement et de l'Energie.
Dans ce rapport, la CRC relève des impayés de 111 millions d'euros, que la région Nouvelle-Aquitaine (Aquitaine, Limousin, Poitou-Charentes) a réglés, et une dette léguée par l'ex-Poitou-Charentes, dont 46 millions d'emprunts toxiques que la nouvelle région doit rembourser.
Devant le refus d'Alain Rousset, les élus ont donc saisi le tribunal administratif pour leur permettre d'agir en justice à la place du Conseil régional, comme le prévoit la loi.