En effet, l’année dernière après l’éviction de Laurent Medea de la direction de la Communication rattaché au Cabinet de la Mairie de St-Denis, il semble que les grands penseurs du Cabinet n’aient pas trouvé chaussure à leur pied à la Réunion pour remplacer le directeur de la Communication. Ils sont donc allé chercher une originaire de la Réunion officiant en banlieue parisienne. Jusque-là, pas de problème.
Le hic c’est qu’il fallait trouver un job pour son mari. Elle a donc purement et simplement négocié un boulot en Mairie pour son cher et tendre. Jusque-là, çà passe elle peut tenter le coup. Mais là où c’est condamnable c’est que la Mairie a accepté ! Combien d’employés communaux souhaiteraient voir leur conjoint enfant ou frère recruté ?
Cette dame serait-elle à ce point indispensable pour conditionner son recrutement à une place toute chaude sous le soleil pour son époux ?
Ledit mari a donc intégré la direction d’une association de commerçants para-municipale avec un confortable salaire, en remplacement du directeur lui parti prendre la direction du service économique de la Mairie.
Cette dame aurait-elle osé faire cela dans son ancienne collectivité de banlieue parisienne ? Le cas échéant, cette collectivité aurait-elle approuvé ?
Certes c’est avec des comportements pareils que la Réunion avancera…