
Deux tracteurs remplis de cannes bloquent les balances de la Pente-Sassy. Un autre mais sans sa “caisse” (sa remorque), a été stoppé devant au cas où… A la sortie de la plate-forme, quatre voitures obstruent l’issue. Un pick-up empêche l’accès au pont de levage.
Aucune livraison n’est possible. C’était déjà le cas mardi et mercredi.
Cette opération effectuée, le groupe de planteurs en colère contre les usiniers, s'est ensuite rendu à Beaufonds avec le même objectif.
A 11 heures, ils ont décidé de s'en tenir là pour aujourd'hui et de renoncer pour le moment à bloquer l’ensemble des plates-formes de réception de cannes à sucre de l’île.
Rappelons que le conflit est né à la suite du refus des usiniers de recevoir les cannes de Jean-François Sababady, livrées avec trop “de pailles et de tête”.
Toutefois, au début du troisième jour de blocage, certains planteurs affichent leur désapprobation. Hors micro et caméra, plusieurs agriculteurs expriment leur colère. “Cette affaire ne concerne que Sababady et un autre exploitant agricole”.
Les trois policiers présents sur le site saint-andréen observent la situation.
Les planteurs dont les tracteurs sont sur la plate-forme, font le va-et-vient, dans l’espoir d’une reprise de la réception. Pour l’heure, ça n'en prend pas vraiment le chemin.
Aucune livraison n’est possible. C’était déjà le cas mardi et mercredi.
Cette opération effectuée, le groupe de planteurs en colère contre les usiniers, s'est ensuite rendu à Beaufonds avec le même objectif.
A 11 heures, ils ont décidé de s'en tenir là pour aujourd'hui et de renoncer pour le moment à bloquer l’ensemble des plates-formes de réception de cannes à sucre de l’île.
Rappelons que le conflit est né à la suite du refus des usiniers de recevoir les cannes de Jean-François Sababady, livrées avec trop “de pailles et de tête”.
Toutefois, au début du troisième jour de blocage, certains planteurs affichent leur désapprobation. Hors micro et caméra, plusieurs agriculteurs expriment leur colère. “Cette affaire ne concerne que Sababady et un autre exploitant agricole”.
Les trois policiers présents sur le site saint-andréen observent la situation.
Les planteurs dont les tracteurs sont sur la plate-forme, font le va-et-vient, dans l’espoir d’une reprise de la réception. Pour l’heure, ça n'en prend pas vraiment le chemin.