
Face aux accusations de viol dont il faisait l'objet, Tariq Ramadan avait toujours nié jusqu'à maintenant toute relation avec ses accusatrices.
C'est donc un véritable rebondissement auquel on a assisté aujourd'hui avec la déclaration de son avocat ce matin sur Europe 1, affirmant que le théologien suisse reconnaissait finalement avoir entretenu "une relation" avec sa dernière accusatrice. "Tariq Ramadan reconnaît avoir eu une relation avec cette femme, mais ça n’est pas celle qu’elle décrit", a-t-il déclaré.
Il faut dire qu'il pouvait difficilement continuer à nier. La femme a en effet remis aux enquêteurs une robe noire qu'elle affirme avoir porté lors d'un des viols qu'elle a subi, et sur lequel figurerait le sperme de Tari Ramadan.
Une expertise a été ordonnée par les juges pour vérifier si cette tache correspond à l'ADN du prédicateur musulman.
Le théologien est écroué à la prison de Fleury-Mérogis depuis sa mise en examen, le 2 février, pour viol et viol sur personne vulnérable.
Hier, la justice a rendu une expertise confirmant que Tariq Ramadan souffre bien d’une sclérose en plaques, mais qu'elle ne s'opposait pas à son maintien en détention.
C'est donc un véritable rebondissement auquel on a assisté aujourd'hui avec la déclaration de son avocat ce matin sur Europe 1, affirmant que le théologien suisse reconnaissait finalement avoir entretenu "une relation" avec sa dernière accusatrice. "Tariq Ramadan reconnaît avoir eu une relation avec cette femme, mais ça n’est pas celle qu’elle décrit", a-t-il déclaré.
Il faut dire qu'il pouvait difficilement continuer à nier. La femme a en effet remis aux enquêteurs une robe noire qu'elle affirme avoir porté lors d'un des viols qu'elle a subi, et sur lequel figurerait le sperme de Tari Ramadan.
Une expertise a été ordonnée par les juges pour vérifier si cette tache correspond à l'ADN du prédicateur musulman.
Le théologien est écroué à la prison de Fleury-Mérogis depuis sa mise en examen, le 2 février, pour viol et viol sur personne vulnérable.
Hier, la justice a rendu une expertise confirmant que Tariq Ramadan souffre bien d’une sclérose en plaques, mais qu'elle ne s'opposait pas à son maintien en détention.