
Après trois semaine de calme relatif, les partisans du président déchu, Marc Ravalomana se sont retrouvés ce week-end sur la "Place de la légalité" dans le but de protester contre la "mainmise" d'Andry Rajoelina sur la présidence de la Transition.
C'est en effet un message de l'ancien chef d'Etat déchu, qui a motivé cette reprise des manifestation au Magro Ankorondrano, ce samedi. Un message intervenu après la seconde réunion des quatre mouvances politiques malgaches à Maputo la semaine dernière.
A cette occasion Marc Ravalomana avait lancé un appel contre la présidence de la Transition par son premier opposant. "Nous ne pouvons confier la présidence de la Transition à celui qui avait pris le pouvoir par la force" peut-on lire sur le site l'Express de Madagascar.
On pensait que les tensions s'étaient apaisée entre les deux hommes mais le second sommet de Maputo semble avoir consacré les différences et oppositions appuyées existant entre les deux hommes. Ravalomanana ayant même indiqué qu'il préférait voir Ratsiraka à la tête de la Haute autorité de la Transition en lieu et place de Rajoelina et que cette "lutte ne se terminera jamais si une telle personne (Rajoelina) accédait à cette place..."
"Cela signifie qu'à Madagascar, on peut prendre le pouvoir dans la rue et par la force ; et ensuite, en acquérir une légitimation à l'issue d'un processus de négociation tronqué. La mouvance Ravalomanana ne voudrait être ni complice ni responsable d’un tel mauvais exemple pour la région" expliquait l'ancien président le 28 août dernier.
Source : "L'Express de Madagascar "
C'est en effet un message de l'ancien chef d'Etat déchu, qui a motivé cette reprise des manifestation au Magro Ankorondrano, ce samedi. Un message intervenu après la seconde réunion des quatre mouvances politiques malgaches à Maputo la semaine dernière.
A cette occasion Marc Ravalomana avait lancé un appel contre la présidence de la Transition par son premier opposant. "Nous ne pouvons confier la présidence de la Transition à celui qui avait pris le pouvoir par la force" peut-on lire sur le site l'Express de Madagascar.
On pensait que les tensions s'étaient apaisée entre les deux hommes mais le second sommet de Maputo semble avoir consacré les différences et oppositions appuyées existant entre les deux hommes. Ravalomanana ayant même indiqué qu'il préférait voir Ratsiraka à la tête de la Haute autorité de la Transition en lieu et place de Rajoelina et que cette "lutte ne se terminera jamais si une telle personne (Rajoelina) accédait à cette place..."
"Cela signifie qu'à Madagascar, on peut prendre le pouvoir dans la rue et par la force ; et ensuite, en acquérir une légitimation à l'issue d'un processus de négociation tronqué. La mouvance Ravalomanana ne voudrait être ni complice ni responsable d’un tel mauvais exemple pour la région" expliquait l'ancien président le 28 août dernier.
Source : "L'Express de Madagascar "