Rashel est une artiste autodidacte qui a débuté sur les bancs du collège avec l’atelier instrumental à la salle Gramoune Lélé de Saint-Benoît. Puis, elle enchaîne dès ses 17 ans avec des groupes tels que l’Atelier de musique de Jimmy Toave. Entre maloya et jazz, la musicienne se découvre un amour pour l’accordéon et intègre l’orchestre Plyphonia.
« La première fois que j’ai chanté en public ailleurs qu’à l’église, j’avais 12 ans. Mais sur une vraie scène, c’était au collège. C’est là que j’ai eu le déclic : devenir artiste », explique Rashel avec le regard rieur.
L’ambition et le rêve semblent toutefois porter ses fruits. Repérée par des artistes locaux sur les réseaux sociaux, puis par Vincent Lambert son producteur, le rêve de Rashel devient réalité. Lorsqu’elle se remémore la création de son premier single « Mon destiné », la jeune artiste a des étoiles plein les yeux :
« J’étais vraiment en train de réaliser mon rêve. Je faisais quelque chose que j’aime. J’ai composé et écrit une chanson et j’ai tourné mon clip. Pour certains, ce n’est peut-être rien mais pour moi c’est beaucoup car j’y ai mis tout mon cœur ».
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