
Alors que la crise sanitaire continue, les salariés des établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux n’économisent pas leurs efforts pour protéger les usagers de leur établissement. C’est pourquoi le gouvernement a attribué une prime de 183 euros nets mensuels. Mais pas pour tout le monde !
Effectivement, si tous les salariés des établissements publics de santé et des EHPADS touchent cette prime bien méritée depuis plusieurs mois, ce n’est pas le cas pour les salariés des établissements sociaux et médico-sociaux privés qui représentent près de 4000 personnes à La Réunion. Effectivement, les salariés des établissements privés non lucratif du champ du social et du médico-social n’ont pas droit à cette prime alors qu’ils font le même travail que leurs collègues dans le public.
"Une telle inégalité de traitement est insupportable. Macron vient d’affirmer que nos établissements devront rester ouverts quoi qu’il en soit de par leur rôle essentiel pour la santé publique et l’accompagnement des plus fragiles. Mais quand il s’agit de nous traiter avec égalité, notre rôle essentiel n’est plus reconnu", explique Stéphane Lebon, de FO Santé Privée.
Les principaux syndicats (Force Ouvrière, CGTR, CFTC et SUD) réunionnais dans les établissements sociaux, et médico-sociaux privés à La Réunion s’unissent pour un appel à manifestation jeudi 8 avril à 9 heures devant l’ARS pour demander le versement de cette prime de 183 euros nets mensuels à tous les salariés des établissements comme pour le public.
Toutes les professions sont nécessairement importantes pour l’accompagnement des enfants, des adultes et des familles, qu’on soit en crise ou non.
Cette manifestation s’annonce suivie tant le raz le bol de salariés est palpable face à cette injustice. D’ailleurs, les syndicats sont plus que jamais unis autour de cette revendication.
Effectivement, si tous les salariés des établissements publics de santé et des EHPADS touchent cette prime bien méritée depuis plusieurs mois, ce n’est pas le cas pour les salariés des établissements sociaux et médico-sociaux privés qui représentent près de 4000 personnes à La Réunion. Effectivement, les salariés des établissements privés non lucratif du champ du social et du médico-social n’ont pas droit à cette prime alors qu’ils font le même travail que leurs collègues dans le public.
"Une telle inégalité de traitement est insupportable. Macron vient d’affirmer que nos établissements devront rester ouverts quoi qu’il en soit de par leur rôle essentiel pour la santé publique et l’accompagnement des plus fragiles. Mais quand il s’agit de nous traiter avec égalité, notre rôle essentiel n’est plus reconnu", explique Stéphane Lebon, de FO Santé Privée.
Les principaux syndicats (Force Ouvrière, CGTR, CFTC et SUD) réunionnais dans les établissements sociaux, et médico-sociaux privés à La Réunion s’unissent pour un appel à manifestation jeudi 8 avril à 9 heures devant l’ARS pour demander le versement de cette prime de 183 euros nets mensuels à tous les salariés des établissements comme pour le public.
Toutes les professions sont nécessairement importantes pour l’accompagnement des enfants, des adultes et des familles, qu’on soit en crise ou non.
Cette manifestation s’annonce suivie tant le raz le bol de salariés est palpable face à cette injustice. D’ailleurs, les syndicats sont plus que jamais unis autour de cette revendication.