
La publication ce lundi 26 juillet du rapport des inspections générales sur l'avenir de la filière sucre en Outre-mer a le mérite de lancer le débat sur l’avenir de l'agriculture à La Réunion.
Au-delà du devenir de la canne à sucre et des filières sucre et rhum sans oublier la filière bagasse/biomasse-énergie, est-ce que les Réunionnaises et les Réunionnais ont réellement besoin de l’avis des experts des ministères de Paris pour décider de l'avenir de leur île ? Les Réunionnaises et les Réunionnaissont les mieux à même de déterminer la politique agricole de notre territoire. La crise sanitaire, la crise des transports avec par exemple le blocage du canal de Suez, la menace terroriste et les risques liés à la piraterie maritime ont fait prendre conscience aux Réunionnaises et aux Réunionnaisde l'urgence de la sécurité alimentaire et la souveraineté alimentaire de notre territoire tournées vers une agriculture, sans pesticide et sans produit phytosanitaire, respectueuse de notre santé et de notre environnement. Il en est de même pour la question de la souveraineté énergétique de La Réunion basée sur les énergies renouvelables.
Engageons aujourd’hui un débat citoyen sans filtre sur l’avenir de l’agriculture de La Réunion ouvert à toutes et à tous, aux acteurs locaux, et en particulier avec les premiers concernés c’est-à-dire les planteurs, et ce ,sans l’interférence des lobbys et des multinationales. Faisons en sorte que ce débat soit au cœur des enjeux des campagnes des élections présidentielle et législatives de 2022.
Vincent Defaud, membre du Conseil Exécutif de Génération Ecologie, chargé des Outre-mer, Référent Génération Ecologie La Réunion
Au-delà du devenir de la canne à sucre et des filières sucre et rhum sans oublier la filière bagasse/biomasse-énergie, est-ce que les Réunionnaises et les Réunionnais ont réellement besoin de l’avis des experts des ministères de Paris pour décider de l'avenir de leur île ? Les Réunionnaises et les Réunionnaissont les mieux à même de déterminer la politique agricole de notre territoire. La crise sanitaire, la crise des transports avec par exemple le blocage du canal de Suez, la menace terroriste et les risques liés à la piraterie maritime ont fait prendre conscience aux Réunionnaises et aux Réunionnaisde l'urgence de la sécurité alimentaire et la souveraineté alimentaire de notre territoire tournées vers une agriculture, sans pesticide et sans produit phytosanitaire, respectueuse de notre santé et de notre environnement. Il en est de même pour la question de la souveraineté énergétique de La Réunion basée sur les énergies renouvelables.
Engageons aujourd’hui un débat citoyen sans filtre sur l’avenir de l’agriculture de La Réunion ouvert à toutes et à tous, aux acteurs locaux, et en particulier avec les premiers concernés c’est-à-dire les planteurs, et ce ,sans l’interférence des lobbys et des multinationales. Faisons en sorte que ce débat soit au cœur des enjeux des campagnes des élections présidentielle et législatives de 2022.
Vincent Defaud, membre du Conseil Exécutif de Génération Ecologie, chargé des Outre-mer, Référent Génération Ecologie La Réunion