Les conditions de roulage seront exceptionnelles pour le Rallye du Var, Finale de la coupe SMRC 2022. En effet, les deux pilotes de pointe dont le Réunionnais Réhane Gany seront confrontés à un temps placé sous le sec absolu. Certes quelques gouttes de pluie sont tombées du côté de Sainte Maxime en début de semaine mais un vent constant a ensuite asséché le terrain. Les classiques cordes grasses et profondes de l’arrière pays varois ont laissé place à un sol totalement sec.
«En ce qui nous concerne, les reconnaissances se sont parfaitement déroulées,» explique Réhane. «Il y a plusieurs sections avec des virages cachés qui permettent de passer avec beaucoup de vitesse. Il faut avoir une confiance absolue en ses notes et son copilote pour ce parcours. J’adore les sections étroites plutôt que les larges boulevards et j’aime vraiment ce tracé» poursuit le leader de la Coupe Stellantis Motorsport Rally Cup.
«En ce qui nous concerne, les reconnaissances se sont parfaitement déroulées,» explique Réhane. «Il y a plusieurs sections avec des virages cachés qui permettent de passer avec beaucoup de vitesse. Il faut avoir une confiance absolue en ses notes et son copilote pour ce parcours. J’adore les sections étroites plutôt que les larges boulevards et j’aime vraiment ce tracé» poursuit le leader de la Coupe Stellantis Motorsport Rally Cup.
Du fait des conditions météorologiques prévues et attendues, les choix pneumatiques ne seront pas les plus compliqués de la saison. «On devrait tous opter pour des medium mais la stratégie pneumatiques sera complexe. Beaucoup de tracés ont beaucoup de grip ce qui induit une usure supplémentaire des gommes.»
Les pilotes engagés dans cette formule quasi monotype (Peugeot 208Gt Rally4 et cousines Opel Corsa Rally4 disputent la même compétition) devront donc jongler en permanence entre attaque généreuse et préservation des gommes avec un quota unique de 10 enveloppes disponibles. «De fait, tout sera affaire de compromis. Il est clair qu’il sera matériellement impossible d’être à l’attaque en permanence et partout» explique le Réunionnais.
«Le risque de brûler les pneus est réel et il faudra en garder en bon état pour affronter la longue spéciale finale de plus de 35km. Le tracé est globalement rapide, un poil plus qu’aux Cévennes et certaines sections sont de sacrés morceaux très vite et au rythme intense comme la fin de Collobrière qui sera disputée à trois reprises.»
Compte tenu de ce profil et des enjeux, les stratégies pneumatique et sportive seront les garanties d’un bon positionnement et du gain des lauriers en catégorie Master synonymes de passage en catégorie supérieure l’an prochain.
Les pilotes engagés dans cette formule quasi monotype (Peugeot 208Gt Rally4 et cousines Opel Corsa Rally4 disputent la même compétition) devront donc jongler en permanence entre attaque généreuse et préservation des gommes avec un quota unique de 10 enveloppes disponibles. «De fait, tout sera affaire de compromis. Il est clair qu’il sera matériellement impossible d’être à l’attaque en permanence et partout» explique le Réunionnais.
«Le risque de brûler les pneus est réel et il faudra en garder en bon état pour affronter la longue spéciale finale de plus de 35km. Le tracé est globalement rapide, un poil plus qu’aux Cévennes et certaines sections sont de sacrés morceaux très vite et au rythme intense comme la fin de Collobrière qui sera disputée à trois reprises.»
Compte tenu de ce profil et des enjeux, les stratégies pneumatique et sportive seront les garanties d’un bon positionnement et du gain des lauriers en catégorie Master synonymes de passage en catégorie supérieure l’an prochain.