[REVUE DE PRESSE] Samedi 24 février
Le JIR fait sa Une sur la pension marron de Saint-André et affiche : « Les gramounes traités comme du bétail ». « Le procureur Eric Tufféry a stigmatisé les conditions de survie infâmes des personnes âgées du « mouroir » de Saint-André… », peut-on encore lire. De son côté, le Quotidien consacre sa première page au composte. « Après 10 années […]
Ecrit par N.P – le samedi 24 février 2018 à 06H36
Le JIR fait sa Une sur la pension marron de Saint-André et affiche : « Les gramounes traités comme du bétail ». « Le procureur Eric Tufféry a stigmatisé les conditions de survie infâmes des personnes âgées du « mouroir » de Saint-André… », peut-on encore lire.
De son côté, le Quotidien consacre sa première page au composte. « Après 10 années de bataille avec l’Europe, le composte péi enfin aux normes ».
Faits-divers
Thierry Robert a été condamné par la Cour d’appel de Paris pour harcèlement sexuel et moral. Il doit verser près de 80.000 euros de dommages et intérêts à deux anciens assistants parlementaires.
Le prof d’EPS soupçonné d’attouchement sexuel sur mineur de moins de 15 ans est ressorti libre du tribunal ce vendredi, mais a été placé sous contrôle judiciaire. Il comparaîtra en mai prochain.
Société
« Conflit Albioma : faut-il s’attendre à de nouvelles coupures d’électricité ? » questionne le JIR alors que le préavis de grève déposé en novembre dernier par les syndicats CGT et FO n’a toujours pas été levé. « La menace de nouvelles coupures d’électricité est à nouveau d’actualité », indique le journal.
« Modification des zones de pêches traditionnelles, Vie Océane et l’Ifremer alertent », titre le Quotidien, qui relait leurs inquiétantes conclusions.
La 6e édition du bouclier qualité-prix a été dévoilée ce vendredi par la préfecture. 109 produits sont proposés pour un montant maximal de 288 euros, dont 55 produits fabriqués localement. Mais les acteurs du transport maritime n’ont pas participé financièrement, malgré la loi Égalité réelle.
« Les entreprises du bâtiment voient s’accumuler les obstacles à leur activité », écrit le JIR. « Le bâtiment fait vivre 17 000 familles, à La Réunion, mais les problématiques de gestion et les retards dans la commande publique entravent leur développement.