À la une du Quotidien, à propos de l’assemblée plénière de la Région, « la majorité évite l’explosion », les cartes rebattues, titre le journal.
Hier, le policier suspecté d’avoir pris part dans le réseau de prostitution de Mohamed Salim Rangila a été mis en examen pour proxénétisme aggravé puis placé sous contrôle judiciaire. Il est suspecté d’avoir participé au commerce du sexe qui avait pour théâtre la maison de passe du quartier Saint-Jacques. Il entretenait une liaison avec une des prostituées mise en examen pour proxénétisme aggravé.
Les intermédiaires condamnés dans l’affaire du trafic d’Artane malgache. Les traficants, les dealers et la mule ont été condamnés. En avril 2011, 42 000 cachets d’Artane étaient découverts dans un conteneur de produits artisanaux provenant de Madagascar. Les revendeurs locaux ont, hier, écopé de 6 à 15 mois de prison ferme, tandis que les fournisseurs malgaches risquent, eux, de partir jusqu’à 5 années en prison s’ils reviennent un jour dans l’île.
À retrouver dans le JIR, quatre lycéennes du Tampon ont dénoncé le comportement pervers du professeur qui devait les soutenir et les aider. Franco Loricourt a été condamné à deux ans de prison avec sursis. Et le tribunal lui interdit d’enseigner.
Le vote pour les vice-présidences et la commission permanente à la Région s’est déroulé hier. Didier Robert renouvelle son équipe et écarte, comme prévu Jean-Paul Virapoullé de la vice-présidence. L’opposition a éclaté avec l’éjection de Karine Nabénésa. Olivier Rivière a quant a lui été promu 1er vice-président de la Région.
Dans le Quotidien, à propos de l’affaire des billets surfacturés d’Air Austral, la pression s’accentue sur la compagnie. L’assemblée plénière de la Région a adopté une motion pour exiger que toute la transparence soit faite sur la politique tarifaire de la compagnie.
Le gouvernement double les financements du plan d’actions anti-requins. Le ministère des Outre-mers a en effet annoncé hier qu’il consacrerait 2 millions d’euros par an aux financements du plan d’action pour permettre de renforcer la sécurité des zones pour la baignade et les activités nautiques.