À la une du JIR ce mercredi, l’inquiétude qui gagne les boîtes de nuit, qui malgré le déconfinement restent fermées jusqu’en septembre ("Les boîtes craignent la sortie de piste"). Plusieurs propriétaires de boîtes de nuit se sont réunis ce mardi après-midi au Loft, à Saint-Gilles les Bains, pour faire le point sur la situation. Nombreux sont ceux qui espèrent rouvrir dès la fin de l'Etat d'urgence sanitaire, soit à partir du 11 juillet. "Si la fermeture est maintenue après cette date, on partirait sur une ouverture sans piste de danse mais avec des horaires de discothèques", indique Angel Porras, président de la branche discothèques, bars de nuit et casinos à l'UMIH Réunion, pour qui les établissements ne pourront sinon pas survivre jusqu'à septembre.
De son côté, Le Quotidien revient sur l’enquête concernant un trafic supposé de cigarettes. Un des marins mauriciens du hors bord immatriculé dans l’île Soeur et qui avait été retrouvé le 18 juin dernier à l’embouchure de la Rivière du Mât, s’est rendu hier aux autorités.
De son côté, Le Quotidien revient sur l’enquête concernant un trafic supposé de cigarettes. Un des marins mauriciens du hors bord immatriculé dans l’île Soeur et qui avait été retrouvé le 18 juin dernier à l’embouchure de la Rivière du Mât, s’est rendu hier aux autorités.
FAITS-DIVERS
La campagne a franchi un tournant ce mardi à Sainte-Marie. Alors qu’une voiture sono de l’équipe de Richard Nirlo circulait mardi après-midi dans le quartier de Beauséjour, un individu n’a pas hésité à tirer sur le véhicule. Les militants qui étaient à bord sont sortis précipitamment mais n’ont pu identifier le tireur. Aucune victime n’est à déplorer. Pour le candidat à la mairie de Sainte-Marie, il y aurait une forte suspicion que de smilitants de son adversaire soient derrière ces coups de feu.
Le président de l'association de consommateurs "Roul Pa Nou", Noor-Olivier Bassand, a été interpellé ce matin par la police puis placé en garde à vue. Il est entendu dans le cadre d'une enquête pour malversations financières présumées. Les soupçons se portent sur une confusion présumée entre son patrimoine personnel, son association et une société. Ses fonctions au Département sont également questionnées.
Pas de clémence pour Claude. Le sexagénaire, en guerre contre les chaussées déformées de l’île, n’avait pas hésité le 19 août 2019 à taguer le mur du stade municipal de St-Joseph et celui de la gendarmerie pour marquer sa colère. Face à la juge ce mardi, il n'a pas su se retenir et finalement été expulsé de la salle d’audience. "Nous pouvons entendre les voix de la révolte. Il y a des choses dans notre société qui ne vont pas", a reconnu le ministère public, qui l’a malgré tout condamné à une peine de six mois de prison ferme aménageables, à 400 euros d’amende et au versement d’un euro symbolique à la mairie de St-Joseph, constituée partie civile.
La campagne a franchi un tournant ce mardi à Sainte-Marie. Alors qu’une voiture sono de l’équipe de Richard Nirlo circulait mardi après-midi dans le quartier de Beauséjour, un individu n’a pas hésité à tirer sur le véhicule. Les militants qui étaient à bord sont sortis précipitamment mais n’ont pu identifier le tireur. Aucune victime n’est à déplorer. Pour le candidat à la mairie de Sainte-Marie, il y aurait une forte suspicion que de smilitants de son adversaire soient derrière ces coups de feu.
Le président de l'association de consommateurs "Roul Pa Nou", Noor-Olivier Bassand, a été interpellé ce matin par la police puis placé en garde à vue. Il est entendu dans le cadre d'une enquête pour malversations financières présumées. Les soupçons se portent sur une confusion présumée entre son patrimoine personnel, son association et une société. Ses fonctions au Département sont également questionnées.
Pas de clémence pour Claude. Le sexagénaire, en guerre contre les chaussées déformées de l’île, n’avait pas hésité le 19 août 2019 à taguer le mur du stade municipal de St-Joseph et celui de la gendarmerie pour marquer sa colère. Face à la juge ce mardi, il n'a pas su se retenir et finalement été expulsé de la salle d’audience. "Nous pouvons entendre les voix de la révolte. Il y a des choses dans notre société qui ne vont pas", a reconnu le ministère public, qui l’a malgré tout condamné à une peine de six mois de prison ferme aménageables, à 400 euros d’amende et au versement d’un euro symbolique à la mairie de St-Joseph, constituée partie civile.
SOCIÉTÉ
Pour avoir traité des patients positifs du covid-19, les soignants de l'équipe de réanimation polyvalente du CHU Sud réclament au directeur du CHU le versement de la prime de 1500 euros. Dans une note pourtant datée du 10 juin, Lionel Calenge, directeur du CHU Réunion, avait détaillé les modalités de versement de la prime Covid pour le personnel hospitalier mobilisé durant le confinement, et dont le montant s’élève à 500 euros à La Réunion, et de 1500 euros si les agents hospitaliers avaient pris en charge des patients covid-19.
"La Mecque: Pas de pèlerinage pour les Réunionnais" (JIR). Afin de contenir la propagation du coronavirus, l’Arabie saoudite a décidé de limiter le pèlerinage musulman de La Mecque fin juillet à un millier de pèlerins vivant sur son territoire. Pas de pèlerinage donc cette année pour les fidèles réunionnais, qui sont plus d’une centaine chaque année à se rendre dans la ville sainte.
Pour avoir traité des patients positifs du covid-19, les soignants de l'équipe de réanimation polyvalente du CHU Sud réclament au directeur du CHU le versement de la prime de 1500 euros. Dans une note pourtant datée du 10 juin, Lionel Calenge, directeur du CHU Réunion, avait détaillé les modalités de versement de la prime Covid pour le personnel hospitalier mobilisé durant le confinement, et dont le montant s’élève à 500 euros à La Réunion, et de 1500 euros si les agents hospitaliers avaient pris en charge des patients covid-19.
"La Mecque: Pas de pèlerinage pour les Réunionnais" (JIR). Afin de contenir la propagation du coronavirus, l’Arabie saoudite a décidé de limiter le pèlerinage musulman de La Mecque fin juillet à un millier de pèlerins vivant sur son territoire. Pas de pèlerinage donc cette année pour les fidèles réunionnais, qui sont plus d’une centaine chaque année à se rendre dans la ville sainte.