Le Journal de l’île consacre sa une du jour à la maladie de Lyme, encore très méconnue -quand elle n’est pas prise au sérieux par la plupart des médecins- dans notre île. Le média a recueilli le témoignage de trois femmes, qui « se battent depuis des années pour faire reconnaître des douleurs intenables ».
Le Quotidien a choisi pour sa part de revenir sur la dixième condamnation de Marie-Line Tiber, véritable « reine » de l’escroquerie à La Réunion. « Depuis 1999, Marie Line Tiber accumule les escroqueries sous de fausses identités : compagne de Florent Pagny, riche héritière, mère d’un illustre chirurgien ou encore…avocate au barreau de Paris », indique le journal.
FAITS-DIVERS
« Le ti-père dément et reste en prison » (Le Quotidien) ; « Le ti-père revient sur ses accusations » (JIR) : Ben Abdou reste maintenu en détention. Mis en examen et placé en détention provisoire avec sa compagne pour violences aggravés sur l’enfant de cette dernière, qui décèdera début décembre d’une hémorragie cérébrale, le ti-père comparaissait hier la Chambre de l’instruction pour une demande de remise en liberté. Son avocat, Me Ahmed Ben Ali, a demandé à ce que son client soit remis en liberté et placé sous contrôle judiciaire strict car selon les expertises, des traces de coups ont été retrouvés sur la victime « alors que mon client n’était pas encore avec la mère des enfants » (JIR). Une demande rejetée par la cour.
Déjà impliqué dans un trafic de cocaïne entre La Réunion et le Pérou, A.P comparaissait hier à la Chambre de l’instruction. Déjà mis en cause dans cette affaire, il était cette fois-ci venu s’expliquer sur la découverte faite par les gendarmes à son domicile en août de quelque 150 pieds de zamal. Il était toujours en détention provisoire alors que son complice et colocataire de la maison était placé lui sous contrôle judiciaire nous apprend Le Quotidien. Une situation qui a indigné l’avocat d’A.P, Me Georges-André Hoarau, qui a réclamé « une égalité de traitement devant la loi ». Une demande acceptée par la Chambre. A.P, tout comme son complice, se présenteront libres à leur procès.