SOCIÉTÉ
Le Conseil Départemental a signé ce lundi les 17 premiers contrats du dispositif R+. Celui-ci vise à permettre aux jeunes une insertion durable tout en permettant de percevoir un revenu complémentaire. Au total, 5 000 personnes vont pouvoir bénéficier de ces contrats. "L’Allocation R+ favorise l’insertion professionnelle par l’activité, la création d’activité, un emploi pérenne durable et la formation qualifiante et la mobilité. Ce sont des dispositifs qui permettent un retour à l’emploi des personnes bénéficiaires du RSA en compensant une partie de leur allocation", indique Cyrille Melchior.
Le sort réservé à l'ancienne prison Juliette-Dodu sera connu d'ici un mois. Après l'audience qui s'est tenue ce lundi au tribunal administratif, l'association Kartyé Lib, qui milite depuis des années pour la sauvegarde de l'ancienne prison espère que les juges seront attentifs d'ici le verdict sur la valeur historique de l'ancienne prison. "Ce que le rapporteur public demande aujourd'hui c'est qu'on puisse régulariser...Vous avez un architecte des Bâtiments de France qui parle de régularisation du projet de la SHLMR et en ce qui concerne du projet de démolition, il faut aussi une régularisation", regrette l'avocat de Kartyé Lib, Me Fabrice Sauber, qui voit là une "forme de complaisance".
Le Conseil Départemental a signé ce lundi les 17 premiers contrats du dispositif R+. Celui-ci vise à permettre aux jeunes une insertion durable tout en permettant de percevoir un revenu complémentaire. Au total, 5 000 personnes vont pouvoir bénéficier de ces contrats. "L’Allocation R+ favorise l’insertion professionnelle par l’activité, la création d’activité, un emploi pérenne durable et la formation qualifiante et la mobilité. Ce sont des dispositifs qui permettent un retour à l’emploi des personnes bénéficiaires du RSA en compensant une partie de leur allocation", indique Cyrille Melchior.
Le sort réservé à l'ancienne prison Juliette-Dodu sera connu d'ici un mois. Après l'audience qui s'est tenue ce lundi au tribunal administratif, l'association Kartyé Lib, qui milite depuis des années pour la sauvegarde de l'ancienne prison espère que les juges seront attentifs d'ici le verdict sur la valeur historique de l'ancienne prison. "Ce que le rapporteur public demande aujourd'hui c'est qu'on puisse régulariser...Vous avez un architecte des Bâtiments de France qui parle de régularisation du projet de la SHLMR et en ce qui concerne du projet de démolition, il faut aussi une régularisation", regrette l'avocat de Kartyé Lib, Me Fabrice Sauber, qui voit là une "forme de complaisance".
ÉCONOMIE
La préfecture de La Réunion a dévoilé ce lundi le prix de vente maximum des hydrocarbures à La Réunion à compter du 1er septembre 2020. Le prix de vente est en baisse à 0,96 €/litre (- 1 ct), celui du sans-plomb connaît aussi une baisse pour se fixer à 1,25€/litre, tout comme la bouteille de gaz (16,46€).
FAITS-DIVERS
La garde à vue de l'auteur des faits de violence qui se sont déroulés vendredi soir dernier dans un bar de la Possession, a été levée ce lundi. Il avait porté deux coups de couteau à un client du bar, qui avait passé la soirée à agresser la clientèle, et qui l'avait agressé physiquement. La victime avait été évacuée à l'hôpital, alors que l'auteur des coups de couteau était placé en garde à vue. Les gendarmes devront établir si l'auteur des faits était ou non en état de légitime défense et dans ce cas, si la riposte est considérée proportionnelle à l'attaque.
La préfecture de La Réunion a dévoilé ce lundi le prix de vente maximum des hydrocarbures à La Réunion à compter du 1er septembre 2020. Le prix de vente est en baisse à 0,96 €/litre (- 1 ct), celui du sans-plomb connaît aussi une baisse pour se fixer à 1,25€/litre, tout comme la bouteille de gaz (16,46€).
FAITS-DIVERS
La garde à vue de l'auteur des faits de violence qui se sont déroulés vendredi soir dernier dans un bar de la Possession, a été levée ce lundi. Il avait porté deux coups de couteau à un client du bar, qui avait passé la soirée à agresser la clientèle, et qui l'avait agressé physiquement. La victime avait été évacuée à l'hôpital, alors que l'auteur des coups de couteau était placé en garde à vue. Les gendarmes devront établir si l'auteur des faits était ou non en état de légitime défense et dans ce cas, si la riposte est considérée proportionnelle à l'attaque.