À Saint-Benoît, un chauffard a été arrêté alcoolisé et positif aux stupéfiants, après avoir tenté de prendre la fuite. Durant sa garde à vue, les militaires qui ont perquisitionné chez lui ont trouvé quatre rouleaux de zamal et un grand sac rempli de cannabis séché.
Dans la nuit de vendredi à samedi, au Port, un individu s’en est pris à sa mère et ses deux frères. Des violences intervenues sur fond l’alcool, qui ont amené à une intervention des policiers. Placé en garde à vue, il a été relâché avec une convocation en justice.
« La pêche industrielle est une arme de destruction massive », lit-on dans le JIR, qui rapporte les propos de Fernand Léonie, l’un des plus vieux pêcheurs professionnels de France, installé à Saint-Gilles depuis 1964. « En 40 ans de métier, il a constaté la raréfaction des poissons tout autour de La Réunion », indique le journal.
Alors que d’après le magazine Forbes, l’épave du Wakashio est sur la route des courants qui viennent directement sur notre île, le Quotidien, qui a interrogé un expert en courantologie, indique que le « le risque de pollution est quasi-nul ».
La mobilisation pour les jardins de Manapany se poursuit. Un bakar a été organisé ce dimanche, alors que plusieurs manifestants comparaîtront demain, rapporte encore le Quotidien.
Si la chambre verte et les syndicats se réjouissent du maintien du montant du POSEI, ils réclament une aide à destination de tous les producteurs, et pas seulement des organisations de producteurs.
« Les ‘nouveaux précaires’ : encore peu nombreux à appeler à l’aide », lit-on dans le JIR. « Confrontés à des difficultés financières, certains poussent la porte des CCAS. Professionnels du social et collectivités craignent une explosion prochaine du nombre de ces ‘nouveaux précaires' ».
Adrien Taquet, le secrétaire d’Etat chargé de l’enfance et des familles, sera en visite sur notre île cette semaine, à compter de demain, apprend-on dans le Quotidien. Au programme : la protection de l’enfance et le soutien à la parentalité.
A lire dans le JIR, l’interview de Vanessa Miranville, maire de La Possession et première candidate déclarée aux régionales. « Je veux incarner une rupture… », exprime celle qui entend présenter un projet « citoyen ».