Des Unes un peu inhabituelles pour nos deux journaux de presse écrite pour ce dernier jour de l’année, qui pour rappel, ne paraîtront demain. L’occasion pour le JIR et Le Quotidien de souhaiter la bonne année à leurs lecteurs, en leur donnant la parole notamment pour le premier sur leurs souhaits pour l’année à venir.
FAITS-DIVERS
L’auteur du coup de couteau hier matin sur l’avenue Monseigneur Romero au Port a été placé en garde à vue au commissariat de la cité portuaire. Il aurait agressé son rival à la suite d’un différend intervenu la veille avec la victime, dont le pronostic vital est toujours engagé. Une enquête a été ouverte.
« L’agresseur au couteau toujours recherché » (JIR) ; « Le conjoint au couteau dans la nature » (Le Quotidien). Le principal suspect de la sauvage agression au couteau sur sa compagne vendredi matin à l’Etang-Salé est toujours dans la nature, malgré un important dispositif de recherches déployé pour tenter de le retrouver. Pour rappel, la victime a reçu de la part de son concubin des coups de couteau aux bras, dans le dos mais aussi sur les mains car elle voulait le quitter. Déjà connu défavorablement par la justice, l’agresseur a réussi depuis vendredi à déjouer la traque des gendarmes de l’Etang-Salé, ceux du Psig et ceux de la brigade de recherches. « Sur place, après les faits, les chiens de pistage se sont vite arrêtés non loin de la maison, ils n’ont rapidement plus rien flairé », écrit Le Quotidien.
La victime, auditionnée hier après-midi, est désormais hors de danger.
Tout est bien qui finit bien pour ces trois pêcheurs hier au large de la Ravine-Blanche. Leur embarcation s’est retrouvée en difficulté hier en début d’après-midi après une panne moteur, « à 300 mètres du littoral » nous apprend le Journal de l’île. Des fusées fumigènes ont été lancées par les occupants du navire, qui ont très vite reçu l’aide de navires se trouvant aux alentours, « la vedette de la SNSM étant indisponible » ajoute le média. Une autre vedette se trouvant non loin de l’appel de détresse des pêcheurs a pu remorquer sains et saufs jusqu’au port de Terre-Sainte.