
Depuis le début de la semaine dernière, les négociations sont dans l'impasse entre représentants de salariés et direction du groupe REP, société spécialisée dans la vente et le montage de pneumatiques. Hier, les salariés ont à nouveau fait monter la pression en mettant le feu à des pneus devant le centre du Port, explique le Quotidien de ce matin.
Deux centres ont décidé de rallier les grévistes du Port, celui du Chaudron et de Saint-Pierre. La raison de cette grève qui perdure ? Les négociations salariales qui n'aboutissent pas. D'un côté, les représentants de salariés demandent une revalorisation salariale de 80 euros alors que la direction ne propose que 25 euros brut par mois. Une situation "intolérable" pour le délégué syndical CGTR, Thierry Pontiac.
Pour la direction, une augmentation de 25 euros se justifie dans un "contexte de crise". "L'augmentation de 25 euros est cohérente (…). Elle s'ajoute à de nombreux avantages, 13ème mois, prime intéressement, ancienneté,…", explique un communiqué émanant de la direction.
Mais du côté des grévistes, la direction ne fait "aucun effort" dans un conflit qui dure depuis 8 jours. "Pour la reprise des négociations on a arrêté les feux de palettes et de pneus", souligne le délégué syndical. Des salariés qui étaient prêts à revoir à la baisse leur revendication. Mais devant le dialogue impossible, les salariés grévistes veulent se tourner vers l'inspection du travail pour trouver une issue au conflit.
Deux centres ont décidé de rallier les grévistes du Port, celui du Chaudron et de Saint-Pierre. La raison de cette grève qui perdure ? Les négociations salariales qui n'aboutissent pas. D'un côté, les représentants de salariés demandent une revalorisation salariale de 80 euros alors que la direction ne propose que 25 euros brut par mois. Une situation "intolérable" pour le délégué syndical CGTR, Thierry Pontiac.
Pour la direction, une augmentation de 25 euros se justifie dans un "contexte de crise". "L'augmentation de 25 euros est cohérente (…). Elle s'ajoute à de nombreux avantages, 13ème mois, prime intéressement, ancienneté,…", explique un communiqué émanant de la direction.
Mais du côté des grévistes, la direction ne fait "aucun effort" dans un conflit qui dure depuis 8 jours. "Pour la reprise des négociations on a arrêté les feux de palettes et de pneus", souligne le délégué syndical. Des salariés qui étaient prêts à revoir à la baisse leur revendication. Mais devant le dialogue impossible, les salariés grévistes veulent se tourner vers l'inspection du travail pour trouver une issue au conflit.