
Ce matin, les salariés grévistes de la société spécialisée dans la vente et le montage de pneumatiques, Rep, poursuivent leur mouvement. Ils sont, au total, une quarantaine de grévistes répartis sur les centres du Chaudron à Saint-Denis, du Port et de Saint-Pierre.
Après neuf jours de mobilisation, ils réfléchissent à durcir le ton face à l'arrêt brutal des discussions avec leur hiérarchie. Quelques jours plus tôt, à l'occasion des NAO (Négociations Annuelles Obligatoires), la direction proposait une revalorisation salariale à hauteur de 25 euros brut par mois. Les grévistes demandaient quant à eux 80 euros brut par mois. Les représentants syndicaux ont fini par accepter les 25 euros, à la seule condition que cette revalorisation soit accompagnée d'une prime annuelle. Refus catégorique de la direction qui ne souhaite plus discuter.
Face à cette rupture de dialogue, les grévistes ont décidé de demander une médiation à l'inspection du travail. Pour le moment, aucune réponse ne leur a été transmise. Ce matin, devant le siège de Rep au Port, les feux de pneus ont repris...
Après neuf jours de mobilisation, ils réfléchissent à durcir le ton face à l'arrêt brutal des discussions avec leur hiérarchie. Quelques jours plus tôt, à l'occasion des NAO (Négociations Annuelles Obligatoires), la direction proposait une revalorisation salariale à hauteur de 25 euros brut par mois. Les grévistes demandaient quant à eux 80 euros brut par mois. Les représentants syndicaux ont fini par accepter les 25 euros, à la seule condition que cette revalorisation soit accompagnée d'une prime annuelle. Refus catégorique de la direction qui ne souhaite plus discuter.
Face à cette rupture de dialogue, les grévistes ont décidé de demander une médiation à l'inspection du travail. Pour le moment, aucune réponse ne leur a été transmise. Ce matin, devant le siège de Rep au Port, les feux de pneus ont repris...