
Un quart des entreprises montre des signes de vulnérabilité
La résilience des entreprises face au choc d’activité qu’elles ont subi avec la crise de la Covid-19 dépend de leurs marges de manœuvre financières en termes de niveau de trésorerie disponible, mais également de capacité d’endettement. À La Réunion, un quart des entreprises de notre échantillon (entreprises présentes dans le Fichier bancaire des entreprises – FIBEN - de la Banque de France) montre, en 2019, des signes de vulnérabilité, en cumulant une faible trésorerie et une capacité d’endettement insuffisante. Celles-ci pourraient voir leur situation financière se tendre avec la crise, laissant craindre un risque élevé de défaillance parmi elles. À l’inverse, près d’un tiers des entreprises de notre échantillon ne montre pas, selon ces deux critères, de signes de fragilité.
Certains secteurs soulèvent plus d’inquiétudes que d’autres
Les entreprises du commerce et de l’industrie apparaissent relativement plus vulnérables à la veille de la crise. Un tiers d’entre elles présentent des tensions de trésorerie et d’endettement en 2019. Particulièrement touché par cette crise, le secteur de l’hôtellerie-restauration soulève certaines inquiétudes au regard de son endettement et de solvabilité. Enfin, entreprises de la construction cumulent des marges financières faibles et une capacité bénéficiaire parmi les plus basses.
Des mesures de soutien exceptionnelles qui ont permis de préserver le tissu économique
Le gouvernement a mis en place différents dispositifs de soutien face à la crise (PGE, activité partielle, etc.). Ces derniers ont joué un rôle important d’amortisseur, avec une volonté affichée de préserver la trésorerie des entreprises. L’enjeu de la reprise économique sera d’accompagner au mieux la sortie des dispositifs d’aides, notamment pour les entreprises structurellement plus vulnérables.
Pour lire https://www.iedom.fr/la‐reunion/publications/etudes‐thematiques/
La résilience des entreprises face au choc d’activité qu’elles ont subi avec la crise de la Covid-19 dépend de leurs marges de manœuvre financières en termes de niveau de trésorerie disponible, mais également de capacité d’endettement. À La Réunion, un quart des entreprises de notre échantillon (entreprises présentes dans le Fichier bancaire des entreprises – FIBEN - de la Banque de France) montre, en 2019, des signes de vulnérabilité, en cumulant une faible trésorerie et une capacité d’endettement insuffisante. Celles-ci pourraient voir leur situation financière se tendre avec la crise, laissant craindre un risque élevé de défaillance parmi elles. À l’inverse, près d’un tiers des entreprises de notre échantillon ne montre pas, selon ces deux critères, de signes de fragilité.
Certains secteurs soulèvent plus d’inquiétudes que d’autres
Les entreprises du commerce et de l’industrie apparaissent relativement plus vulnérables à la veille de la crise. Un tiers d’entre elles présentent des tensions de trésorerie et d’endettement en 2019. Particulièrement touché par cette crise, le secteur de l’hôtellerie-restauration soulève certaines inquiétudes au regard de son endettement et de solvabilité. Enfin, entreprises de la construction cumulent des marges financières faibles et une capacité bénéficiaire parmi les plus basses.
Des mesures de soutien exceptionnelles qui ont permis de préserver le tissu économique
Le gouvernement a mis en place différents dispositifs de soutien face à la crise (PGE, activité partielle, etc.). Ces derniers ont joué un rôle important d’amortisseur, avec une volonté affichée de préserver la trésorerie des entreprises. L’enjeu de la reprise économique sera d’accompagner au mieux la sortie des dispositifs d’aides, notamment pour les entreprises structurellement plus vulnérables.
Pour lire https://www.iedom.fr/la‐reunion/publications/etudes‐thematiques/
