En ce printemps 2020, il est encore difficile de mesurer l’impact qu’aura le coronavirus sur l’économie de l’Île de la Réunion. Les dommages sont visibles au niveau mondial et les nations auront besoin d’un certain temps pour panser leurs plaies. Très touché par la crise, le secteur du tourisme pourrait subir des conséquences financières désastreuses. Ce ne sont pas moins de 2000 entreprises et 14 000 salariés qui sont concernés selon les chiffres de 2017. Les professionnels du secteur se voient dès lors obligés de considérer des alternatives pour maintenir leur source de revenus.
Réaliser des investissements sur les marchés financiers
Alors que l‘économie est au point mort, il est difficile de postuler pour trouver une fonction dans un autre secteur. Néanmoins, ceux qui ont un capital ont l’opportunité d’investir sur les marchés financiers. On sait que le cours des actions et des produits financiers a fortement chuté ces dernières semaines. Cette tendance n’épargne personne. L’action Apple par exemple à chuté sous 230 dollars le 20 mars. En France, l’indice CAC 40 qui était à 6000 points en début d’année est passé sous la barre des 4000 points pour brièvement remonter. Pour ceux qui ont les nerfs solides, il y a très certainement des arbitrages à réaliser en utilisant des plateformes de trading.
C’est également le cas sur le marché des devises. Le cours de la livre par rapport au dollar par exemple est à un de ses plus bas niveaux depuis 5 ans. La paire euro dollar réserve également quelques surprises ces dernières semaines liées entre autres aux différentes actions gouvernementales pour faire face au coronavirus. Même si les marchés sont dans une phase hautement volatile, les opportunités ne manquent donc pas.
Réaliser des investissements sur les marchés financiers
Alors que l‘économie est au point mort, il est difficile de postuler pour trouver une fonction dans un autre secteur. Néanmoins, ceux qui ont un capital ont l’opportunité d’investir sur les marchés financiers. On sait que le cours des actions et des produits financiers a fortement chuté ces dernières semaines. Cette tendance n’épargne personne. L’action Apple par exemple à chuté sous 230 dollars le 20 mars. En France, l’indice CAC 40 qui était à 6000 points en début d’année est passé sous la barre des 4000 points pour brièvement remonter. Pour ceux qui ont les nerfs solides, il y a très certainement des arbitrages à réaliser en utilisant des plateformes de trading.
C’est également le cas sur le marché des devises. Le cours de la livre par rapport au dollar par exemple est à un de ses plus bas niveaux depuis 5 ans. La paire euro dollar réserve également quelques surprises ces dernières semaines liées entre autres aux différentes actions gouvernementales pour faire face au coronavirus. Même si les marchés sont dans une phase hautement volatile, les opportunités ne manquent donc pas.
Travailler à distance via des plateformes intermédiaires
Pour ceux qui souhaitent une source de revenus moins risquée, il est également possible de chercher du travail à distance. Pour ce faire, de nombreuses plateformes existent afin de mettre en contact demandeurs d’emploi et employeurs. Les opportunités sont extrêmement variées et dépendent des qualifications de chacun. Les professionnels du tourisme, souvent multilingues et multiculturels, ont des compétences particulières qui peuvent être valorisées à l’international. On peut imaginer des emplois dans le secteur de la traduction, de la rédaction d’articles de voyage, de la vente ou du télémarketing notamment.
Construire une réputation lorsqu’on travaille à distance prend du temps, il ne faut donc pas se décourager si les premières démarches sont infructueuses. Dans tous les cas, il peut être intéressant de se construire un revenu d’appoint qui ne soit pas lié à l’affluence touristique sur l’île afin d’être plus souple en cas de crise.
Miser sur le tourisme intérieur et préparer l’avenir
Si certains ne veulent pas envisager une alternative au tourisme, autant anticiper l’avenir. Une fois l’épidémie vaincue, le tourisme intérieur sera le premier à remonter avant que les frontières ne soient réouvertes. Le demi-million de touristes extérieurs qui a fréquenté l’île en 2018 mettra plus de temps à revenir.
L’Île de la Réunion a la chance de bénéficier de bons chiffres en matière de tourisme intérieur (1,2 milliard d’euros selon les derniers chiffres officiels publiés en 2010). C’est donc le moment pour les établissements autrefois tournés vers le tourisme extérieur de repenser leur modèle et d’adapter leur offre pour tenir compte de cette nouvelle réalité.
Pour ceux qui souhaitent une source de revenus moins risquée, il est également possible de chercher du travail à distance. Pour ce faire, de nombreuses plateformes existent afin de mettre en contact demandeurs d’emploi et employeurs. Les opportunités sont extrêmement variées et dépendent des qualifications de chacun. Les professionnels du tourisme, souvent multilingues et multiculturels, ont des compétences particulières qui peuvent être valorisées à l’international. On peut imaginer des emplois dans le secteur de la traduction, de la rédaction d’articles de voyage, de la vente ou du télémarketing notamment.
Construire une réputation lorsqu’on travaille à distance prend du temps, il ne faut donc pas se décourager si les premières démarches sont infructueuses. Dans tous les cas, il peut être intéressant de se construire un revenu d’appoint qui ne soit pas lié à l’affluence touristique sur l’île afin d’être plus souple en cas de crise.
Miser sur le tourisme intérieur et préparer l’avenir
Si certains ne veulent pas envisager une alternative au tourisme, autant anticiper l’avenir. Une fois l’épidémie vaincue, le tourisme intérieur sera le premier à remonter avant que les frontières ne soient réouvertes. Le demi-million de touristes extérieurs qui a fréquenté l’île en 2018 mettra plus de temps à revenir.
L’Île de la Réunion a la chance de bénéficier de bons chiffres en matière de tourisme intérieur (1,2 milliard d’euros selon les derniers chiffres officiels publiés en 2010). C’est donc le moment pour les établissements autrefois tournés vers le tourisme extérieur de repenser leur modèle et d’adapter leur offre pour tenir compte de cette nouvelle réalité.