Le repas créole est l'aboutissement d'une longue tradition. Il se compose en général d'une entrée avec un rôti de porc et une salade de achards, accompagnée de pain.
Comme plat de résistance, le choix s’élargit: civet de canard, carri bichique, carri camaron, accompagnés d’un rougail mangue, d’un rougail pistache ou d'un rougail tomate.
Et enfin, au dessert, la bûche de Noël est bien sûr de mise.
Mais cette année, il semblerait que les Réunionnais (comme les autres…) se serrent un peu plus la ceinture, même pour le repas de Noël… Cette fois, ce sont les grillades qui ont la côte, selon Yoland Viracaoundin, boucher-charcutier renommé de la rue Monthyon à Saint-Denis. "Généralement, à cette période, les gens ont déjà réservé leurs chapons, leurs cuisses de porc, ou leurs canard. Là, on sent bien une certaine réticence. Les gens sont dans la psychose de la crise, et n’osent pas commander tout de suite"…
Comme plat de résistance, le choix s’élargit: civet de canard, carri bichique, carri camaron, accompagnés d’un rougail mangue, d’un rougail pistache ou d'un rougail tomate.
Et enfin, au dessert, la bûche de Noël est bien sûr de mise.
Mais cette année, il semblerait que les Réunionnais (comme les autres…) se serrent un peu plus la ceinture, même pour le repas de Noël… Cette fois, ce sont les grillades qui ont la côte, selon Yoland Viracaoundin, boucher-charcutier renommé de la rue Monthyon à Saint-Denis. "Généralement, à cette période, les gens ont déjà réservé leurs chapons, leurs cuisses de porc, ou leurs canard. Là, on sent bien une certaine réticence. Les gens sont dans la psychose de la crise, et n’osent pas commander tout de suite"…