
Dans un article du 28 août dernier, je m'interrogeais sur les véritables raisons qui avaient poussé Jacques de Chateauvieux à vendre la totalité de ses parts dans la société CBO Territoria, qui est côtée en bourse.
Depuis, les langues se sont un peu déliées. On évoque la colère de Jacques de Chateauvieux contre l'intransigeance de certains maires qui chercheraient à imposer à la société des quotas de logements sociaux trop importants, qui compromettraient la viabilité économique des opérations futures.
D'autres sources évoquent également l'inquiétude de l'ancien PDG devant la volonté du gouvernement de remettre en cause les lois de défiscalisation, sur lesquelles est bâti le modèle économique de CBO.
On ne sait s'il y a un rapport avec le départ de Jacques de Chateauvieux, mais plusieurs personnalités du milieu s'étonnent également du départ du directeur financier du groupe, passé sous silence jusqu'ici, un maillon essentiel dont tout le monde saluait la compétence et qui était notamment celui qui était en contact avec les milieux boursiers.
Depuis, les langues se sont un peu déliées. On évoque la colère de Jacques de Chateauvieux contre l'intransigeance de certains maires qui chercheraient à imposer à la société des quotas de logements sociaux trop importants, qui compromettraient la viabilité économique des opérations futures.
D'autres sources évoquent également l'inquiétude de l'ancien PDG devant la volonté du gouvernement de remettre en cause les lois de défiscalisation, sur lesquelles est bâti le modèle économique de CBO.
On ne sait s'il y a un rapport avec le départ de Jacques de Chateauvieux, mais plusieurs personnalités du milieu s'étonnent également du départ du directeur financier du groupe, passé sous silence jusqu'ici, un maillon essentiel dont tout le monde saluait la compétence et qui était notamment celui qui était en contact avec les milieux boursiers.