Tel est le premier souhait me venant à l’esprit concernant les voeux pour cette nouvelle année.
Pas folichon, me direz-vous, et je suis bien de votre avis : quand on constate les multiples catastrophes que l’Humanité vient de traverser au cours des trois dernières années, avec cette accélération catastrophique de l’Histoire, on se demande si l’optimisme n’est plus qu’une simple vue de l’esprit imaginée par un philosophe fou.
Cependant… la résignation et l’acceptation du fait accompli ne font pas partie de ma panoplie humaniste. Car voilà le mot du dictionnaire que je préfère, Humanisme : « Position philosophique qui met l’Homme et les valeurs humaines au-dessus des autres valeurs » (Petit Larousse illustré).
C’est en fonction de cette notion essentielle que j’ose naïvement espérer encore en un devenir meilleur pour tous.
L’Histoire a permis de révéler un Jésus, un Bouddha, une mère Térésa, une soeur Etienne, un Madiba, un Martin Luther King, une Rigoberta Menchu, un Abbé Pierre, une Simone Veil, un Coluche ; et ce, malgré quelques monstruosités historiques, Hitler, Mao, Pol Pot, Staline, Bolsonaro, Trump, Duterte… Vous remarquerez qu’il n’y a pas de femmes dans ces monstruosités, « à part bien sûr madame Tatcher ».
La seule présence de ces quelques phares au cours des âges, brillant au sein des pires obscurités, me laisse croire que si nous fonçons perpétuellement dans le mur, nous ne nous y fracassons pas totalement. C’est comme le coup du cinglé qui se donne des coups de marteau sur la tête et est tout heureux de ne pas en mourir !
C’est pourquoi j’ai tenté de dresser une liste non hexaustive de mes souhaits pour 2023.
Cette liste vous concerne toutes et tous au premier chef, amies et amis chers à mon âme. Je vous souhaite tout ce que vous pouvez désirer de meilleur pour vous-mêmes et ceux qui vous sont précieux. Pas forcément la fortune, d’ailleurs, quoique… si l’argent n’est pas l’essentiel, s’il ne fait pas le bonheur, personne n’a jamais prouvé non plus que la pauvreté rendait heureux. Diogène, c’est bien, mais faut pas pousser !
Une famille unie, homogène, soudée autour de ses propres valeurs, voilà le principal. Et je le résume par cette formule : aimer et être aimé, voilà ce que vous méritez et que je vous souhaite, du plus profond de mon coeur.
Pour le reste de la Planète, contrairement à ce que l’on pourrait croire, je ne souhaite pas que Poutine soit assassiné ; on risque de tomber sur pire. Mais je souhaite que la guerre en Ukraine s’arrête. Je pense à ces milliers de familles ukrainiennes s’apprêtant à passer l’hiver dans la nuit, le froid et sous les bombardements de Vladimir 1er.
Je souhaite que le combat des femmes iraniennes et afghanes trouve une heureuse issue.
Je souhaite que les quelques centaines de millions de Chinois parvenant à survivre aux errements de Xi Jing-machin ne soient plus considérés comme des codes-barres.
Je souhaite un net affaiblissement des multinationales hyper-capitalistes qui s’enrichissent chaque jour un peu plus pendant que 99% de l’humanité est de plus en plus démunie.
Je souhaite que Madagascar et l’Afrique, trop longtemps exploitées par l’Occident, émergent enfin vers un bonheur qu’elles n’ont que trop peu connu.
Je souhaite… je souhaite… je souhaite l’impensable car le seul vrai slogan valable de Mai-68 reste celui-ci : « Soyons réalistes, exigeons l’impossible ! »
On m’accuse souvent d’être un incorrigible naïf, sentimental, utopique, romantique ; je vais vous faire une confidence : c’est vrai.
Longtemps j’ai dévoré avec voracité les récits des navigateurs (surtout par gros temps, pas vrai Vax ?) effectuant des tours du monde à la voile. Ils n’avaient rien à prouver à qui que ce fût : ils voulaient dénicher les beautés de notre monde car on ne s’enrichit jamais que de nos différences.
Comme le chante Antoine : « J’étais bien parmi vous mais je pars aujourd’hui/Ailleurs voir si c’est aussi bien qu’ici ».
Je vous aime et vous serre sur mon coeur.
Don’t worry, be happy !
Julot
Pas folichon, me direz-vous, et je suis bien de votre avis : quand on constate les multiples catastrophes que l’Humanité vient de traverser au cours des trois dernières années, avec cette accélération catastrophique de l’Histoire, on se demande si l’optimisme n’est plus qu’une simple vue de l’esprit imaginée par un philosophe fou.
Cependant… la résignation et l’acceptation du fait accompli ne font pas partie de ma panoplie humaniste. Car voilà le mot du dictionnaire que je préfère, Humanisme : « Position philosophique qui met l’Homme et les valeurs humaines au-dessus des autres valeurs » (Petit Larousse illustré).
C’est en fonction de cette notion essentielle que j’ose naïvement espérer encore en un devenir meilleur pour tous.
L’Histoire a permis de révéler un Jésus, un Bouddha, une mère Térésa, une soeur Etienne, un Madiba, un Martin Luther King, une Rigoberta Menchu, un Abbé Pierre, une Simone Veil, un Coluche ; et ce, malgré quelques monstruosités historiques, Hitler, Mao, Pol Pot, Staline, Bolsonaro, Trump, Duterte… Vous remarquerez qu’il n’y a pas de femmes dans ces monstruosités, « à part bien sûr madame Tatcher ».
La seule présence de ces quelques phares au cours des âges, brillant au sein des pires obscurités, me laisse croire que si nous fonçons perpétuellement dans le mur, nous ne nous y fracassons pas totalement. C’est comme le coup du cinglé qui se donne des coups de marteau sur la tête et est tout heureux de ne pas en mourir !
C’est pourquoi j’ai tenté de dresser une liste non hexaustive de mes souhaits pour 2023.
Cette liste vous concerne toutes et tous au premier chef, amies et amis chers à mon âme. Je vous souhaite tout ce que vous pouvez désirer de meilleur pour vous-mêmes et ceux qui vous sont précieux. Pas forcément la fortune, d’ailleurs, quoique… si l’argent n’est pas l’essentiel, s’il ne fait pas le bonheur, personne n’a jamais prouvé non plus que la pauvreté rendait heureux. Diogène, c’est bien, mais faut pas pousser !
Une famille unie, homogène, soudée autour de ses propres valeurs, voilà le principal. Et je le résume par cette formule : aimer et être aimé, voilà ce que vous méritez et que je vous souhaite, du plus profond de mon coeur.
Pour le reste de la Planète, contrairement à ce que l’on pourrait croire, je ne souhaite pas que Poutine soit assassiné ; on risque de tomber sur pire. Mais je souhaite que la guerre en Ukraine s’arrête. Je pense à ces milliers de familles ukrainiennes s’apprêtant à passer l’hiver dans la nuit, le froid et sous les bombardements de Vladimir 1er.
Je souhaite que le combat des femmes iraniennes et afghanes trouve une heureuse issue.
Je souhaite que les quelques centaines de millions de Chinois parvenant à survivre aux errements de Xi Jing-machin ne soient plus considérés comme des codes-barres.
Je souhaite un net affaiblissement des multinationales hyper-capitalistes qui s’enrichissent chaque jour un peu plus pendant que 99% de l’humanité est de plus en plus démunie.
Je souhaite que Madagascar et l’Afrique, trop longtemps exploitées par l’Occident, émergent enfin vers un bonheur qu’elles n’ont que trop peu connu.
Je souhaite… je souhaite… je souhaite l’impensable car le seul vrai slogan valable de Mai-68 reste celui-ci : « Soyons réalistes, exigeons l’impossible ! »
On m’accuse souvent d’être un incorrigible naïf, sentimental, utopique, romantique ; je vais vous faire une confidence : c’est vrai.
Longtemps j’ai dévoré avec voracité les récits des navigateurs (surtout par gros temps, pas vrai Vax ?) effectuant des tours du monde à la voile. Ils n’avaient rien à prouver à qui que ce fût : ils voulaient dénicher les beautés de notre monde car on ne s’enrichit jamais que de nos différences.
Comme le chante Antoine : « J’étais bien parmi vous mais je pars aujourd’hui/Ailleurs voir si c’est aussi bien qu’ici ».
Je vous aime et vous serre sur mon coeur.
Don’t worry, be happy !
Julot