Diffusant des messages “antivax” sur le réseau Snapchat, il proposait ensuite de faux certificats de vaccination aux personnes répondant aux publications. Après avoir récupéré les informations personnelles des acheteurs, ils s’introduisaient dans la base de données vaccinale.
Sur les cinq prévenus, trois étaient jugés sous contrôle judiciaire, tandis que deux hommes ont été placés en détention provisoire. Ces derniers ont écopé des peines les plus lourdes : quatre ans de prison dont un avec sursis et 25.000 euros d’amende. Une prévenue écope d’une peine de sursis, tandis qu’une dernière mise en cause a été relaxée par le tribunal.