
C'est une après-midi qui aurait se finir en drame. Près de deux semaines après le début de la grève de la faim de Marie-Thérèse Payet, le conflit opposant la société MT2 Intérim au groupe Thien-Ah-Koon a pris une tournure pour le moins incroyable et dramatique. A bout de nerf, un des salariés d'une filiale de MT2 Interim, Jean-Marie Grondin, a décidé de grimper à un arbre non loin du giratoire des Casernes muni d'une corde au cou pour accomplir l'irréparable, se pendre.
Excédé, un salarié menace de se pendre
L'homme, abattu et lassé d'assister à la grève de la faim de sa supérieure, passe à l'action en menaçant de mettre fin à ses jours. L'objectif principal de ce père de famille dont l'emploi est également menacé : une rencontre avec un membre du groupe Thien-Ah-Koon, le lancement de négociations et la recherche de solutions entre les deux parties. Résultat, un spectacle des plus insolites pour les badauds et les collègues du salarié désespéré qui assistent à la scène quasi-impuissants sous l'oeil avisé des forces de l'ordre. Dépêchés sur le site en nombre durant de longues heures, ils sécurisent le périmètre par le biais de gazs lacrymogènes et tentent de raisonner le salarié malheureux, mais en vain. Celui-ci ne décolère pas, après douze jours de privation de sa patronne.
Pendant ce temps, l'époux de la gérante qui avait positionné un camion aux abords de l'enseigne et débuté une grève de la faim, est pris d'un malaise. L'homme étant diabétique et n'ayant pas supporté le manque d'alimentation de ces derniers jours. Les sapeur-pompiers le prennent en charge. L'ambiance est alors électrique et dramatique.
Les négociations vont pouvoir commencer
Equipé d'une corde, le salarié fait alors mine de se jeter dans le vide devant sa femme et ses enfants. Le sous-préfet de Saint-Pierre, Alain Gérard, arrive sur les lieux et entame la discussion avec l'homme. Celui-ci ne descendra de son arbre que si et seulement si des négociations sont lancées. "Convoquée" sur place, la directrice de l'hypermarché arrive sur les lieux vers 17h30 et donne son accord pour un rendez-vous et le lancement de négociations ce jeudi, en présence des avocats des deux parties.
Résultat, les deux grèves de la faim sont levées, le camion et le chapiteau installés sur le parking de la grande surface seront retirés. Les négociations vont pouvoir commencer sur ce que Marie-Thérèse Payet considère comme un "impayé" équivalent à 1,3 millions d'euros.
Excédé, un salarié menace de se pendre
L'homme, abattu et lassé d'assister à la grève de la faim de sa supérieure, passe à l'action en menaçant de mettre fin à ses jours. L'objectif principal de ce père de famille dont l'emploi est également menacé : une rencontre avec un membre du groupe Thien-Ah-Koon, le lancement de négociations et la recherche de solutions entre les deux parties. Résultat, un spectacle des plus insolites pour les badauds et les collègues du salarié désespéré qui assistent à la scène quasi-impuissants sous l'oeil avisé des forces de l'ordre. Dépêchés sur le site en nombre durant de longues heures, ils sécurisent le périmètre par le biais de gazs lacrymogènes et tentent de raisonner le salarié malheureux, mais en vain. Celui-ci ne décolère pas, après douze jours de privation de sa patronne.
Pendant ce temps, l'époux de la gérante qui avait positionné un camion aux abords de l'enseigne et débuté une grève de la faim, est pris d'un malaise. L'homme étant diabétique et n'ayant pas supporté le manque d'alimentation de ces derniers jours. Les sapeur-pompiers le prennent en charge. L'ambiance est alors électrique et dramatique.
Les négociations vont pouvoir commencer
Equipé d'une corde, le salarié fait alors mine de se jeter dans le vide devant sa femme et ses enfants. Le sous-préfet de Saint-Pierre, Alain Gérard, arrive sur les lieux et entame la discussion avec l'homme. Celui-ci ne descendra de son arbre que si et seulement si des négociations sont lancées. "Convoquée" sur place, la directrice de l'hypermarché arrive sur les lieux vers 17h30 et donne son accord pour un rendez-vous et le lancement de négociations ce jeudi, en présence des avocats des deux parties.
Résultat, les deux grèves de la faim sont levées, le camion et le chapiteau installés sur le parking de la grande surface seront retirés. Les négociations vont pouvoir commencer sur ce que Marie-Thérèse Payet considère comme un "impayé" équivalent à 1,3 millions d'euros.