
Grosse colère de Thierry Robert, mercredi dernier, contre un article du Quotidien annonçant une prochaine hausse du prix de l'eau à Saint-Leu.
Le maire de la commune reproche au journaliste d'avoir mal fait son travail, de n'être venu en conseil municipal que pour ce dossier, qui d'ailleurs n'aurait pas été évoqué, et de n'avoir tenu aucun compte des explications du maire et de son équipe.
Jusque là, rien d'anormal. Un maire peut ne pas être satisfait du compte-rendu d'un conseil municipal par un journaliste. Ce n'est pas la première fois et d'ailleurs, il arrive que ce soit parfois justifié.
Là où le maire de Saint-Leu commence à déraper, c'est quand il contacte le JIR dans le but de publier un encart publicitaire pour un montant avoisinant les 2.000 euros quand même, afin de s'en prendre vertement au journaliste concerné. Jusqu'au bout, le service communication de la mairie s'est bien gardé de préciser que le contenu serait en fait une attaque virulente contre un journaliste du "journal d'en face". A un moment, il a quand même bien fallu révéler le pot aux roses et c'est tout à fait légitimement que Yves Montrouge, le rédacteur en chef du JIR, a finalement refusé la parution de la "pub".
Qu'à cela ne tienne! Ne pouvant passer sa pub dans le JIR, Thierry Robert a finalement fait imprimer la pub sous forme de tract, y a rajouté la photo de Marc Bernard, le journaliste du Quotidien avec, dessous, la mention : "Photo prise par le service communication de la mairie de Saint-Leu", et de les faire distribuer dans toutes les boites aux lettres de la commune.
Là, très clairement, Thierry Robert a dépassé la ligne jaune. Il a jeté en pâture notre confrère du Quotidien à tous les Saint-Leusiens, utilisant des méthodes que l'on croyait avoir disparu. Il ne manque plus que la mention "Wanted" en gros, en tête d'affiche et l'illusion aurait été parfaite.
Que se passerait t'il si demain, un malade en venait à agresser Marc Bernard? Thierry Robert a t-il conscience qu'il en serait alors pleinement responsable?
Le maire de la commune reproche au journaliste d'avoir mal fait son travail, de n'être venu en conseil municipal que pour ce dossier, qui d'ailleurs n'aurait pas été évoqué, et de n'avoir tenu aucun compte des explications du maire et de son équipe.
Jusque là, rien d'anormal. Un maire peut ne pas être satisfait du compte-rendu d'un conseil municipal par un journaliste. Ce n'est pas la première fois et d'ailleurs, il arrive que ce soit parfois justifié.
Là où le maire de Saint-Leu commence à déraper, c'est quand il contacte le JIR dans le but de publier un encart publicitaire pour un montant avoisinant les 2.000 euros quand même, afin de s'en prendre vertement au journaliste concerné. Jusqu'au bout, le service communication de la mairie s'est bien gardé de préciser que le contenu serait en fait une attaque virulente contre un journaliste du "journal d'en face". A un moment, il a quand même bien fallu révéler le pot aux roses et c'est tout à fait légitimement que Yves Montrouge, le rédacteur en chef du JIR, a finalement refusé la parution de la "pub".
Qu'à cela ne tienne! Ne pouvant passer sa pub dans le JIR, Thierry Robert a finalement fait imprimer la pub sous forme de tract, y a rajouté la photo de Marc Bernard, le journaliste du Quotidien avec, dessous, la mention : "Photo prise par le service communication de la mairie de Saint-Leu", et de les faire distribuer dans toutes les boites aux lettres de la commune.
Là, très clairement, Thierry Robert a dépassé la ligne jaune. Il a jeté en pâture notre confrère du Quotidien à tous les Saint-Leusiens, utilisant des méthodes que l'on croyait avoir disparu. Il ne manque plus que la mention "Wanted" en gros, en tête d'affiche et l'illusion aurait été parfaite.
Que se passerait t'il si demain, un malade en venait à agresser Marc Bernard? Thierry Robert a t-il conscience qu'il en serait alors pleinement responsable?