"Il y a une Amérique généreuse que nous aimons et il y a aussi une certaine Amérique qui fait peur et c’est cette Amérique là qui vient nous présenter son visage", a déclaré Frédéric Mitterrand pour justifier son soutien. Cette défense est qualifiée d’imprudente et immature. Elle consisterait en une intrusion dans les affaires internes aux Etats-Unis.
D’autres se demandent si le Ministre de la Culture français n’a pas voulu se prémunir de poursuites éventuelles notamment pour des relations avec des garçons en Thaïlande.
C’est ce qu’il a raconté dans son livre "Mauvaise vie", publié en 2005 dans les termes suivants :
"J’ai pris le pli de payer pour des garçons [...] Évidemment, j’ai lu ce qu’on a pu écrire sur le commerce des garçons d’ici .[...] Je sais ce qu’il y a de vrai. La misère ambiante, le maquereautage généralisé, les montagnes de dollars que ça rapporte quand les gosses n’en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages, les maladies, les détails sordides de tout ce trafic. Mais cela ne m’empêche pas d’y retourner. Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément […] On ne pourrait juger qu’un tel spectacle abominable d’un point de vue moral, mais il me plaît au-delà du raisonnable […] La profusion de jeunes garçons très attrayants et immédiatement disponibles me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de réfréner ou d’occulter. L’argent et le sexe, je suis au cœur de mon système, celui qui fonctionne enfin car je sais qu’on ne me refusera pas".
Source : AgoraVox
Pierre Boiteau
D’autres se demandent si le Ministre de la Culture français n’a pas voulu se prémunir de poursuites éventuelles notamment pour des relations avec des garçons en Thaïlande.
C’est ce qu’il a raconté dans son livre "Mauvaise vie", publié en 2005 dans les termes suivants :
"J’ai pris le pli de payer pour des garçons [...] Évidemment, j’ai lu ce qu’on a pu écrire sur le commerce des garçons d’ici .[...] Je sais ce qu’il y a de vrai. La misère ambiante, le maquereautage généralisé, les montagnes de dollars que ça rapporte quand les gosses n’en retirent que des miettes, la drogue qui fait des ravages, les maladies, les détails sordides de tout ce trafic. Mais cela ne m’empêche pas d’y retourner. Tous ces rituels de foire aux éphèbes, de marché aux esclaves m’excitent énormément […] On ne pourrait juger qu’un tel spectacle abominable d’un point de vue moral, mais il me plaît au-delà du raisonnable […] La profusion de jeunes garçons très attrayants et immédiatement disponibles me met dans un état de désir que je n’ai plus besoin de réfréner ou d’occulter. L’argent et le sexe, je suis au cœur de mon système, celui qui fonctionne enfin car je sais qu’on ne me refusera pas".
Source : AgoraVox
Pierre Boiteau