Comment nos amis antillais ont-ils pu vivre cette crise sans FREEDOM et ses « journalistes » ? … Aujourd’hui samedi, les appels des mamies en détresse se multiplient, de même que les commentaires inspirés des « journalistes maison ». Des appels lourds de sens : de bons citoyens (et honnêtes bien sur) sont empêchés de vaquer librement à leur activité favorite : déambuler dans les rayons des grandes surfaces. « Mais on est pas en Guadeloupe ici… » (On l’a vite compris!) » Comment 12 personnes peuvent-elles bloquer une grande surface? » (On aura oublié que dernièrement une douzaine de transporteurs pouvait bloquer toute la Réunion sans s’attirer les foudres des mêmes auditeurs)… etc. etc. … J’attends toujours cette question : « Allô..? …Bobby (Dans les années 60/70 il était courant d’appeler ainsi son animal favori) … Di a moin un peu… Ko sa i devien Camille Sudre ? La fine rotrouv son corps ? Ou sa li lé ? A koz i antan pu l’homme en blanc ? » …
