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Présidentielles 2017 : Mon choix est clair !

Oui, très simple. Entre la peste, le choléra, la maladie du sommeil, la goutte militaire, la peste bubonique, l’hépatite alcoolique (oui, je sais, je l’ai déjà et je vous dis…), la cirrhose macdonaldienne, l’écoeurant rougail dakatine et une saloperie de pain-bouchons gratiné, qui se déciderait vraiment ? Si les choses continuent du train où elles vont […]

Ecrit par Jules Bénard – le mercredi 24 août 2016 à 10H47

Oui, très simple. Entre la peste, le choléra, la maladie du sommeil, la goutte militaire, la peste bubonique, l’hépatite alcoolique (oui, je sais, je l’ai déjà et je vous dis…), la cirrhose macdonaldienne, l’écoeurant rougail dakatine et une saloperie de pain-bouchons gratiné, qui se déciderait vraiment ?

Si les choses continuent du train où elles vont actuellement, j’irai voter, certes, mais pour une fois ce sera blanc.

Aucun des empafés actuels à la triste trogne, manifestant des velléités présidentielles, ne me convient. Et je suis loin d’être un cas isolé.

Explication…

1 Ma voix n’ira à aucun candidat ayant été condamné, même pour un excès de vitesse. Un repris de justice n’a rien à foutre à la tête de ce pays que j’aime. Cela limite déjà sérieusement les candidatures possibles.

2 Ma voix n’ira qu’à un candidat promettant de batailler grave contre les multinationales qui étouffent la planète ; et les banques, qui les soutiennent.

3 Il faudra aussi que ce candidat dise clairement qu’il va faire péter au C4 le siège des incompétents nocifs sur-engraissés, la Commission de Bruxelles. Je ne suis pas anti-européen ; je suis contre CETTE Europe-là !

4 Pour mémoire : je balaie résolument les tristes tronches comme Hollande, les excités du bocal comme le ludion (je veux dire Sarko), les anti-tout comme la fifille à son papa.

Ce qui veut dire que pour l’heure, mon bulletin reste désespérément vierge. Et ma foi, la virginité n’est pas un défaut (je veux dire le bulletin ; pour le foie, c’est autre chose, diront les esprits mesquins).

Citoyennement vôtre,

Jules Bénard 
 

 

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