
"Mon objectif, c'est de supprimer 150.000 postes dans l'administration. L'État doit se recentrer sur ses trois missions prioritaires : protéger, éduquer, soigner, avec, là où il le faut, des postes supplémentaires pour la justice, l'éducation et les soins. Il ne s'agit pas de dégrader le service public ni de casser la reprise. Mais les dépenses doivent baisser", a insisté Valérie Pécresse dans l’Opinion ce lundi.
Si la présidente de la région Ile-de-France venait à accéder à la présidence de la République, elle engagerait "quatre grandes réformes de structures pour baisser les dépenses et diminuer la pression fiscale", citant, "la retraite à 65 ans, la dégressivité des allocations-chômage, la débureaucratisation du pays et une décentralisation, avec un lâcher-prise de l'Etat pour supprimer les doublons".
" ' L'administration administrante" (?) n'existe que dans les interviews de Valérie Pécresse. Cette expression bien floue traduit le manque de vision de l’État à droite. C'est le retour de la méthode RGPP : les coupes sombres sans l'efficacité", a taclé via Twitter Amélie de Montchalin, Ministre de la Transformation et de la Fonction publique.
Si la présidente de la région Ile-de-France venait à accéder à la présidence de la République, elle engagerait "quatre grandes réformes de structures pour baisser les dépenses et diminuer la pression fiscale", citant, "la retraite à 65 ans, la dégressivité des allocations-chômage, la débureaucratisation du pays et une décentralisation, avec un lâcher-prise de l'Etat pour supprimer les doublons".
" ' L'administration administrante" (?) n'existe que dans les interviews de Valérie Pécresse. Cette expression bien floue traduit le manque de vision de l’État à droite. C'est le retour de la méthode RGPP : les coupes sombres sans l'efficacité", a taclé via Twitter Amélie de Montchalin, Ministre de la Transformation et de la Fonction publique.