En déplacement ce week-end en Occitanie, Marine Le Pen a revendiqué "sagesse et sérénité".
En visite à Béziers vendredi passé, la candidate à la Présidentielle a effectué plusieurs visites, chaperonnée par Robert Ménard. Accordant de multiples selfies à ceux qui s'étonnaient de la voir "en vrai", la représentante du Rassemblement National s'est laissée aller à de multiples commentaires. Ceux qui ont concerné Eric Zemmour, son rival, n'ont échappé à personne. Se gardant bien "d'emmerder" ou de "karchériser", Marine Le Pen a accusé son concurrent "de tromper et de diviser ses partisans" tout en rappelant "qu'il quémandait des parrainages à un appareil politique qui n'était pas le sien".
La candidate que les sondages placent avant Zemmour à la course à la présidentielle prophétise que ce dernier fera moins de 10%. "Grâce à lui, les électeurs ont changé de perception à mon sujet", a-t-elle déclaré aux journalistes du quotidien Le Monde qui suivaient son déplacement à Béziers, Trèbes et Perpignan : "On peut avoir été séduits, mais le sérieux, la régularité, la conviction sont ailleurs", pardonne-t-elle à ses électeurs qui veulent "rentrer à la maison".
En visite à Béziers vendredi passé, la candidate à la Présidentielle a effectué plusieurs visites, chaperonnée par Robert Ménard. Accordant de multiples selfies à ceux qui s'étonnaient de la voir "en vrai", la représentante du Rassemblement National s'est laissée aller à de multiples commentaires. Ceux qui ont concerné Eric Zemmour, son rival, n'ont échappé à personne. Se gardant bien "d'emmerder" ou de "karchériser", Marine Le Pen a accusé son concurrent "de tromper et de diviser ses partisans" tout en rappelant "qu'il quémandait des parrainages à un appareil politique qui n'était pas le sien".
La candidate que les sondages placent avant Zemmour à la course à la présidentielle prophétise que ce dernier fera moins de 10%. "Grâce à lui, les électeurs ont changé de perception à mon sujet", a-t-elle déclaré aux journalistes du quotidien Le Monde qui suivaient son déplacement à Béziers, Trèbes et Perpignan : "On peut avoir été séduits, mais le sérieux, la régularité, la conviction sont ailleurs", pardonne-t-elle à ses électeurs qui veulent "rentrer à la maison".