Vivre avec un cœur de porc ou mourir, c’est la question qu’a dû se poser David Benett. Cet Américain est devenu le premier humain à se faire greffer le cœur d’un porc qui a continué de fonctionner sans rejet immédiat.
L’homme de 57 ans a accepté cette opération, car il avait été déclaré inéligible à recevoir une greffe humaine. Bien que conscient des risques, il a confirmé que cette transplantation était sa "dernière option".
Pour pouvoir être accepté par le corps humain, le cœur du porc a dû être génétiquement modifié. Un type de sucre présent dans les cellules du porc, provoquant le rejet immédiat, a dû être enlevé. Six gènes humains ont été ajoutés au génome de l’animal.
Bartley Griffith, qui a réalisé l’opération, voit "une avancée chirurgicale majeure et qui nous rapproche encore un peu plus d’une solution à la pénurie d’organes". Il explique que seulement six mois sont nécessaires pour obtenir un organe de porc de la taille de celui d’un humain adulte.
Aux États-Unis, 110.000 Américains sont en attente d’une greffe. 6000 personnes perdent la vie chaque année, faute de recevoir un organe à temps.
L’homme de 57 ans a accepté cette opération, car il avait été déclaré inéligible à recevoir une greffe humaine. Bien que conscient des risques, il a confirmé que cette transplantation était sa "dernière option".
Pour pouvoir être accepté par le corps humain, le cœur du porc a dû être génétiquement modifié. Un type de sucre présent dans les cellules du porc, provoquant le rejet immédiat, a dû être enlevé. Six gènes humains ont été ajoutés au génome de l’animal.
Bartley Griffith, qui a réalisé l’opération, voit "une avancée chirurgicale majeure et qui nous rapproche encore un peu plus d’une solution à la pénurie d’organes". Il explique que seulement six mois sont nécessaires pour obtenir un organe de porc de la taille de celui d’un humain adulte.
Aux États-Unis, 110.000 Américains sont en attente d’une greffe. 6000 personnes perdent la vie chaque année, faute de recevoir un organe à temps.