
Le combat des transporteurs est beau. Ce sont un peu nos Robin des Bois qui prennent aux riches pour redistribuer aux pauvres. Tout le monde devrait donc les soutenir.
Pourtant, ce matin, nombreux sont ceux qui prennent leurs distances, y compris parmi ceux qui les soutiennent depuis le début.
Il y a tout d'abord eu Jean-Hugues Ratenon qui sur sa page Facebook a estimé, tôt ce matin, que "les barrages doivent être filtrant et non bloquer totalement la population".
Puis c'est Patrick Savatier qui, toujours sur Facebook, s'est désolidarisé du mouvement : "Tout celà n'est plus crédible. maintenant, aprés coup et voyant que la population n'adhère pas certains envisagent de bloquer les supermarchés et autres question d'essayer d'élargir le débat de façon totalement improvisée.... sauf que les choses sérieuses ne se font pas de façon improvisées"... On ne peut être plus clair.
Autre soutien de la première heure, qui se met en retrait : Jean-Yves Minatchy, le président de la Chambre d'agriculture, qui déclarait en milieu de matinée sur Freedom qu'il fallait que les manifestants laissent passer les agriculteurs qui doivent par exemple transporter des milliers de volailles qui risquent de mourir dans leurs poulaillers ou qui doivent se débarrasser de carcasses d'animaux morts.
Sans compter les centaines d'interventions d'auditeurs sur les différentes radios, avec une majorité d'anti-barrages.
De quoi normalement inciter les organisateurs des blocages à se poser un certain nombre de questions sur leur stratégie et sur leur communication.
A ce rythme, leur mouvement, qui bénéficiait d'un large soutien, risque de devenir rapidement totalement impopulaire...
Pourtant, ce matin, nombreux sont ceux qui prennent leurs distances, y compris parmi ceux qui les soutiennent depuis le début.
Il y a tout d'abord eu Jean-Hugues Ratenon qui sur sa page Facebook a estimé, tôt ce matin, que "les barrages doivent être filtrant et non bloquer totalement la population".
Puis c'est Patrick Savatier qui, toujours sur Facebook, s'est désolidarisé du mouvement : "Tout celà n'est plus crédible. maintenant, aprés coup et voyant que la population n'adhère pas certains envisagent de bloquer les supermarchés et autres question d'essayer d'élargir le débat de façon totalement improvisée.... sauf que les choses sérieuses ne se font pas de façon improvisées"... On ne peut être plus clair.
Autre soutien de la première heure, qui se met en retrait : Jean-Yves Minatchy, le président de la Chambre d'agriculture, qui déclarait en milieu de matinée sur Freedom qu'il fallait que les manifestants laissent passer les agriculteurs qui doivent par exemple transporter des milliers de volailles qui risquent de mourir dans leurs poulaillers ou qui doivent se débarrasser de carcasses d'animaux morts.
Sans compter les centaines d'interventions d'auditeurs sur les différentes radios, avec une majorité d'anti-barrages.
De quoi normalement inciter les organisateurs des blocages à se poser un certain nombre de questions sur leur stratégie et sur leur communication.
A ce rythme, leur mouvement, qui bénéficiait d'un large soutien, risque de devenir rapidement totalement impopulaire...