C’est un fort sentiment d’injustice provoqué par les images des gilets jaunes en Métropole qui a poussé le trentenaire à passer à l’acte. Le 30 janvier dernier, en pleine nuit, il s’introduit dans la gendarmerie de Saint-Leu et s’empare de quelques objets dont un gilet pare-balles.
Mais son ADN le trahit et il est interpellé quelques mois plus tard. Il comparaissait hier au tribunal de Saint-Pierre comme l’indique la presse écrite. Il écope de huit mois de prison avec sursis, d’une obligation de soins ainsi que 200 heures de travaux d’intérêt général.