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Pour le Syndicat du Sucre, « les planteurs ne veulent parler que de prix »

Suite à [la réunion du Comité paritaire interprofessionnel de la canne et du sucre (CPCS) infructueuse]urlblank:http://www.zinfos974.com/Pas-d-accord-entre-industriels-et-planteurs-Nous-sommes-obliges-d-aller-a-la-guerre_a114652.html hier dans les locaux de la DAAF (Direction de l’alimentation, de l’agriculture et de la Forêt) à Saint-Denis, et la colère des planteurs, le Syndicat du Sucre s’exprime.   « Malgré un climat serein en CPCS, en respect de l’ordre […]

Ecrit par Zinfos974 – le jeudi 25 mai 2017 à 10H36

Suite à [la réunion du Comité paritaire interprofessionnel de la canne et du sucre (CPCS) infructueuse]urlblank:http://www.zinfos974.com/Pas-d-accord-entre-industriels-et-planteurs-Nous-sommes-obliges-d-aller-a-la-guerre_a114652.html hier dans les locaux de la DAAF (Direction de l’alimentation, de l’agriculture et de la Forêt) à Saint-Denis, et la colère des planteurs, le Syndicat du Sucre s’exprime.
 
« Malgré un climat serein en CPCS, en respect de l’ordre du jour conjointement validé, les planteurs ne veulent parler que du prix de référence de la canne. Or, il est impossible de le faire sans se mettre préalablement d’accord sur les paramètres techniques dont il dépend« , lit-on dans un communiqué.
 
Les industriels affirment avoir présenté des sujets de discussion « pouvant directement améliorer la rémunération de la tonne de canne », à savoir l’écart technique (différence entre le sucre mesuré par le Centre technique interprofessionnel de la canne et du sucre dans le chargement du planteur et le sucre réellement cristallisé par l’usine), la prise en compte des évolutions à la hausse du prix du sucre dans le prix de la tonne de canne et l’identification des marges de manœuvre pour réviser le prix de référence qui correspond à moins de la moitié de la rémunération du planteur à la tonne de canne.
 
Mais ces éléments dépendraient de la qualité de la canne livrée et les industriels ont donc demandé que « les dispositifs existants sur les cannes mécaniques soient repensés ensemble », le but n’étant pas de supprimer les acquis accompagnant la mécanisation mais d’optimiser les moyens.
 
Mais les planteurs auraient voulu négocier le prix de base de la tonne de canne, « bien que l’ordre du jour soit épuisé » et qu’il est « prévu d’en discuter lors de prochaines réunions ».
 
Concernant les blocages de routes et dégradations au sein de la DAAF, « les industriels regrettent les débordements constatés et les perturbation routières qui gênent les Réunionnais ».

 

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