

Et l'ex-otage ne passe pas par quatre chemins. Pour lui, son JRI et lui-même ont été libérés "pour de l'argent, et pour au moins deux prisonniers libérés". S'il reconnaît ne pas avoir "de preuve", le doute ne semble pas permis : "Officiellement, il n'y a pas eu de rançon. Mais bien sûr, ce n'était pas pour des chocolats". Celui qui s'était déjà qualifié de "tirelire" sur le tarmac de l'aéroport de Villacoublay précise que "les négociations ont été très longues".
Des propos confirmés en parti par un communiqué des talibans qui les détenaient et annonçant que les otages ont été libérés contre la libération de prisonniers afghans.