
Ce vendredi, le conseil communautaire de la Casud a, comme prévu, adopté la baisse du prix de l’eau à partir du 1er juillet prochain. André Thien Ah Koon, Patrick Lebreton, Bachil Valy et Olivier Rivière se sont réjouis de cette décision qui allégera la facture de 60.000 abonnés de Sudéau.
Pressé par les autorités préfectorales, lui rappelant son obligation de se mettre en conformité pour la potabilisation de l’eau, le conseil a également voté une motion demandant au préfet un délai supplémentaire. En effet mise en demeure, la Casud dispose de 36 mois pour mettre au norme la totalité de son réseau de potabilisation. Une "injonction irréaliste", lançait hier Patrick Lebreton. L’équipement du système des puits du Bras de la Plaine pour un coût estimé à 37 millions d’euros n’est réalisable, estiment ces élus, qu’à minima dans un délai de 60 mois à condition que l’Etat participe au financement de l’opération.
L’ensemble des affaires inscrites à l’ordre du jour ont été votées à l’unanimité sauf celle portant sur l’autorisation de signature du troisième avenant au contrat de délégation attribué depuis le 1er juillet 2014 à Sudéau. Retards dans les périodes de relève des compteurs entraînant des facturations élevées et la colère des usagers, la société s’était également attirée les foudres du maire de Saint-Joseph. Ce dernier et les élus de la ville qui à l’époque n’avaient pas voté pour ce changement, ont réitéré leur opposition. "Nous ne signerons pas un chèque en blanc à Sudéau".
Pressé par les autorités préfectorales, lui rappelant son obligation de se mettre en conformité pour la potabilisation de l’eau, le conseil a également voté une motion demandant au préfet un délai supplémentaire. En effet mise en demeure, la Casud dispose de 36 mois pour mettre au norme la totalité de son réseau de potabilisation. Une "injonction irréaliste", lançait hier Patrick Lebreton. L’équipement du système des puits du Bras de la Plaine pour un coût estimé à 37 millions d’euros n’est réalisable, estiment ces élus, qu’à minima dans un délai de 60 mois à condition que l’Etat participe au financement de l’opération.
L’ensemble des affaires inscrites à l’ordre du jour ont été votées à l’unanimité sauf celle portant sur l’autorisation de signature du troisième avenant au contrat de délégation attribué depuis le 1er juillet 2014 à Sudéau. Retards dans les périodes de relève des compteurs entraînant des facturations élevées et la colère des usagers, la société s’était également attirée les foudres du maire de Saint-Joseph. Ce dernier et les élus de la ville qui à l’époque n’avaient pas voté pour ce changement, ont réitéré leur opposition. "Nous ne signerons pas un chèque en blanc à Sudéau".