Quatre axes prioritaires sont définis par le gouvernement, dans ce volet Outre-mer du plan de relance économique post-Covid:
– 600 millions d’euros pour des mesures sociales, essentiellement pour la formation, mais aussi pour l’augmentation des contrats PEC, sans que des chiffres précis aient été communiqués.
– 50 millions sont alloués à la rénovation des réseaux d’eau, notamment aux Antilles-Guyane et à Mayotte, où les réseaux sont très médiocres.
– 50 millions sont alloués au plan de rénovation des bâtiments publics aux Antilles, dans le cadre du « Plan séismes Antilles ».
– 80 millions seront alloués à la transformation de l’agriculture, avec pour objectif l’autonomie alimentaire des DROM d’ici 2030.
En dehors de ces quatre axes estimés prioritaires par le gouvernement, une enveloppe non chiffrée ira à l’amélioration du réseau routier, dont une partie ira à la NRL.
50 millions sont prévus pour l’aide au développement local, notamment pour l’accélération des programmes « Coeur de Ville ».
Les collectivités ultramarines bénéficieront de 200 millions pour pallier les pertes de recettes fiscales liées à la pandémie.
Les territoires d’Outre-mer (Nouvelle-Calédonie, Wallis et Futuna, Polynésie) bénéficieront quant à elles de prêts de l’Agence Française de Développement, ainsi que du plan de rénovation des bâtiments publics, seul chiffre donné: 45 millions iront à la rénovation de l’hôpital de Wallis et Futuna.